Souviens-toi de mon nom: Haine Haishin ♦ Beta-Novena ♦ | Treachery Spirit |Messages : 268 Date d'inscription : 13/02/2011 Age : 36 Localisation : Quelque part à snifer du sable blanc du Hueco Mundo Feuille de personnageSpécialité: ZanjutsuNiveau: (42/100)Expérience: (180/5000)
| Sujet: Haishin Haine ~ Treachery spirit Lun 14 Fév - 9:09 | |
| div class="titrefiche">Me, Myself and I | "Merde, j'ai plus de mikados." Nom: Haishin Prénom: Haine Surnom(s): Aucun Âge: Plusieurs siècles Race: Arrancar Grade: Bêta Novena
« Glandeur, Roue Libre, Je m'en foutiste, Sadique, Pervers, Cynique, Fourbe, Intelligent, Franc, Y'en a surement d'autre mais... La flemme...» [url=#]Fiche technique[/url]
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RP's Histoire - Spoiler:
1545, Japon… Sengoku-jidai… Un mort git dans un jardin, une mare de sang s’élargit sur l’herbe verte alors que les yeux de l’homme commencent à ce faire plus lourd, il sent son cœur battre faiblement, il peut entendre avec une perfection incroyable sa propre respiration rauque, il sent ses lèvres baigner dans son sang, sa poitrine à de plus en plus de mal à se soulever. Au dessus de lui, le tableau est parfait, une lèvre brise fait s’envoler les pétales de cerisier du jardin du Clan Hotobe. Il sent la présence de sa sœur, oui, il peut la sentir, il tourne légèrement la tête et l’admire, magnifique malgré son visage fermée, il ne faisait plus attention au katana qu’elle tenait de façon fébrile, la lame ensanglanté… Non, il admirait juste sa beauté, il essaya de tendre le bras mais c’était difficile et sa voix ne voulait pas porter. Sa sœur semblait pourtant comprendre, ses yeux baignés de larmes cherchaient désespérément quelque chose à se raccrocher. Le crépitement et le bruit sinistre du bois qui cédait sous les flammes fit sursauter la jeune fille et fit réaliser à l’homme que la maison du Clan Hotobe brûlait et avec elle, les corps de leurs parents. Sa sœur se rapprocha alors de lui, se penchant comme pour recueillir sa dernière volonté ou plutôt son pardon, elle allait accepter cela, il pouvait le voir dans ses yeux, malgré la tragédie elle lui offrirait le pardon. Elle offrit un pale sourire à son frère et le redressa un peut, le tenant dans bras et le berçant. Il déposa sa main sur sa joue, déposa une marque rouge vermillon et son sourire s’élargit, elle-même lui sourit. Elle n’entendit pas le bruit de l’acier que l’on sort du fourreau, n’y même de l’acier sur la soie imbibé de sang, un bruit étrange se fit alors entendre d’eux seuls, c’était comme un bruit de succion, le sourire de la sœur se crispa et ses yeux s’agrandirent d’étonnement, lorsqu’elle baissa la tête, il était trop tard, la lame du wakizashi avait déjà transpercé son poumon droit, la lame elle ressortait, excroissance disgracieuse imbibant ses vêtements de son propre sang, elle voulu ouvrir la bouche mais aucun son ne sortit. Son frère se redressa alors encore un peut et l’étreignit avec une tendresse déconcertante, approchant ses lèvres de son oreille.
« Naïve petite sœur… Tu aurais du savoir que même jusqu’à la fin, j’aurais tout fait pour vous tuer jusqu’aux derniers… »
Il cracha alors son sang sur son visage avant de tomber lourdement sur le sol détrempé de son propre sang et ses yeux se fermèrent sur la souffrance de sa sœur, le sentiment de vengeance accomplit, son acte de trahison ayant prit fin et puis, un voile noir.
Ceci est la fin de la vie mortelle de Sanzo Hotobe, jusqu’à la fin, il aura tout fait pour éliminer ceux qu’il voyait comme des êtres indignes de lui ou est-ce juste le cœur meurtrit d’un enfant qui réclamait une vengeance ? Tout commença en 1522, la naissance d’un fils annonçant la pérennité du Clan Hotobe en plein Sengoku-jidai, une ère de luttes entre les Clans afin de dominer de vastes territoires et même, contrôle l’archipel du Japon en entier. Le Clan Hotobe était un Clan mineur passé sous l’autorité d’un des nombreux Clans Majeurs de l’archipel, les Hotobe étaient connu pour être des guerriers accomplit et leur maitre avait toujours été satisfait d’eux, le père de Sanzo notamment était le plus grand chef que le Clan avait connu et avec lui, les ambitions des Hotobe avaient été réalisable mais plus encore maintenant avec la naissance d’un fils. Malheureusement, Sanzo n’était pas ce que son père attendait, son éducation montra que le jeune garçon était maigrichon, préférant s’adonner à l’art du thé et ce genre de chose plutôt qu’à la voie du sabre, cette honte faisait souvent fulminer son père et malgré l’entrainement qu’il imposait à son fils, ce dernier était bien loin de devenir un vrai samurai. Bien vite, il fut écarté, son père ne manquait jamais de lui rappeler la honte et le dégout qui lui inspirait, sa mère, femme docile et soumise ne cherchait jamais à réconforter son fils, préférant rester silencieuse et ne pas croiser les regards suppliant de Sanzo. Sa petite sœur elle aimait par-dessus tout le brimer et rire de lui, bref, Sanzo n’était peut être pas né à la bonne époque. Un soir, son père ayant ingurgité énormément de sake décida de lui donner une bonne leçon avec l’aide de quelqu’un de ses hommes. Alors que Sanzo dormait, ils arrivèrent et l’attachèrent, bâillonné, le jeune garçon subit un nombre de coups innombrable et la pire de tout fut peut être le viol des hommes de son père qui annonçait à qui voulait l’entendre que son fils n’en était pas vraiment un. Après le viol, ils recommencèrent à le rouer de coups, tuméfiant son visage, ce que son père ne vit pas, c’était peut être ce regard emplit d’une haine incroyable, ce soir là, son père avait réussit une chose, faire de Sanzo un homme.
A l’âge de 16 ans, une transformation se produisit donc, Sanzo n’était plus le même, pendant 2 ans, il étudia en secret et avec l’aide d’un vieux guerrier, une volonté de faire et aussi une profonde haine transformait Sanzo, certes, il n’était pas une force de la nature mais son mentale et ses muscles noueux devinrent sa seule échappatoire pour laver son honneur. Lorsqu’enfin il se présenta à son père, ce dernier en reconnaissait plus son fils, il était devenu un homme, véritablement, il devint un samurai accomplit durant de nombreuses batailles bien que à côté de sa, il était d’une discrétion incroyable, c’était comme s’il ne voulait pas être remarqué en dehors du champ de bataille faisant désormais l’orgueil de son père. Une série d’assassinat tua de nombreux hommes de confiance du père de Sanzo survint, laissant ainsi au fils le loisir de monter les échelons, ce que personne ne savait, c’était que ces meurtres était l’œuvre du jeune garçon, tuant méthodiquement et de façon sournoise ceux qui l’avait brimé durant cette froide nuit d’hiver. Jusqu’à l’âge de 23 ans, Sanzo devint le phare du Clan, le futur de ce dernier, il était alors prêt à trahir sa famille, à la supprimer.
Et puis enfin, il frappa tel un serpent, sans aucune once de pitié, il tua sa mère et son père, pour lui, il prit son temps, le regardant souffrir de ses yeux froids. Il incendia ensuite la maison, voulant réduire en cendre cette facette de lui, cette trahison avait pour lui un goût sucré, il n’était plus ce fils détesté puis porter en triomphe parce qu’il c’était coulé dans l’image que désirait son père. Mais alors qu’il regardait son œuvre se consumer, sa sœur frappa, il n’avait pas prévu cela, non, elle ne devait pas être là… Mais par un hasard sournois, elle était revenue pour voir le désastre et elle n’avait surement pas mit longtemps à comprendre que son frère était à l’œuvre. Finalement, il la tua elle aussi avant de mourir, il avait tout de même réussit à faire ce qu’il avait désiré depuis ses 16 ans.
La souffrance d’être dévoré, un flash sanglant et spectrale horrible, il s’en souvient, et puis il se souvient du bruit de la cendre, à peine mort, à peine son âme avait été élevée qu’on le dévorait, c’était étrange car, il remarqua quelque chose, dans cette douleur infâme, il comprit qu’il échappait aux Portes des Enfers qui venaient d’apparaitre… Il sombra une nouvelle fois.
Lorsqu’il se réveilla, il sentit le gout du sable blanc dans sa gueule, les grains crissant entre ses crocs, son mufle éjectait de l’air alors que ses puissantes pattes tentaient de le lever, il sentit ses tentacules le démanger et lorsqu’il se leva, il vit dans le reflet d’une mare son apparence, la bête hurla alors de douleur et d’une nouvelle faim. Ainsi il était devenu une créature du Hueco Mundo.
L’apprentissage de sa nouvelle vie fut terrible, il était aussi frêle que lorsqu’il avait été mortel bien qu’il n’avait plus de souvenirs précis, seuls des flashs mais rien d’autre. Le Sanzo de naguère n’était plus, seule une bête se tenait maintenant, une bête à l’esprit cependant aiguisé et son instinct de prédateur réclamait de manger. Durant des siècles, il vécu dans le désert, feintant, évitant les hollows énormes, mangeant les petits, une vie indigne estimait t’il au fur et à mesure que sa conscience redevenait un esprit plus complexe, il avait le don de parole, pouvant offrir ses services aux plus fort et pour l’instant d’après, enrouler ses tentacules irradiant d’une chaleur horrible autour de la gorge de celui qui avait eu la bêtise de croire ses paroles. Mais la bête savait qu’elle ne pouvait évoluer tant qu’elle n’attaquait pas de plus grosses proies, alors elle eut une idée, s’aventurant dans la Passe des Oubliés, un vaste canyon où les ténèbres régnaient… Là, il mit en place son piège… Durant des années, il resta tapis dans une sombre caverne, ses tentacules sortant de celle-ci afin de trouver une proie, lorsqu’une passait à porté, une faible lumière illuminait le bout de ses tentacules, le hollow était alors attiré, comme un papillon cherchant la lumière d’une bougie, l’attirant dans les entrailles de la caverne… Là elle voyait alors quelque chose d’irréel, c’était comme un soleil, un soleil à la lumière bleuté, spectrale… Mais ce soleil n’éclairait rien, seulement les ténèbres, le hollow ne voyait pas les parois, ne remarquait pas l’étendu du lieu et surtout, il ne voyait pas que ce soleil était le poitrail de la bête… Et lorsqu’il se rendait compte de son erreur, il était déjà trop tard, des pupilles félines transperçait son âme alors qu’une voix grondante soufflait.
« Tu vas être mangé… Oui, tu vas être mangé par Haine… »
Et les tentacules l’enserraient alors pour en faire un bon repas. Haine, oui, tel était on nom désormais mangeait encore et encore, évoluant, devenant une bête plus massive, mutant, au fil des mois, des années, des siècles, il continua à se nourrir, encore et toujours, jusqu’à devenir une bête énorme, prenant l’apparence d’un renard démoniaque aux tentacules ressemblant à des poissons accrochés à son pelage, fort et intelligent, il sortit enfin de sa tanière afin d’affronter le Hueco Mundo. Il devint un prédateur plus audacieux même si la technique de la fourberie était ce qu’il préférait le plus. Il ne tenait plus compte des jours, seul les âmes tourmentés qu’il absorbait l’intéressait, Gillian, il devint adjuchas, reprenant un aspect plus « humain », devenant un bipède, sa musculature impressionnante devint plus discrète, mais il restait toujours le même et cette enveloppe plus frêle trompait parfois les plus idiots qui n’étaient pas totalement écrasé par sa simple présence. Humanoïde, oui, un humain avec une tête de renard étrange, avec des tentacules faisant office de cheveux, il n’en restait pas moins une bête intelligente qui aimait désormais discourir avec ses futurs victimes, ne s’attachant à aucune d’elle, il pris alors conscience qu’il avait autre à faire ici, un autre but, Las Noches, oui, pourquoi ne pas évoluer encore ? Devenir plus fort, rentrer dans ce palais et admirer la scène ?
Mais le chemin fut difficile, très difficile, mais Haine tua et tua encore, devenant une bête impitoyable, évoluant toujours un peut plus, une parodie grotesque d’un animal voulant devenir humain et puis un jour, il franchit une nouvelle étape, d’adjuchas, il devint un arrancar, redevenant presque celui qu’il était, un être svelte, un homme qui ne semblait pas dangereux mais au regard animal, le vestige de son masque au niveau de sa nuque, son arme portée au niveau de la hanche gauche. Lorsqu’il foula Las Noches, il sentit un sourire naitre sur ses lèvres, oui, il était enfin arrivé au Théâtre, il allait pouvoir admirer les acteurs et apprendre, rechercher et tuer celui qu’il fallait pour avoir une place au soleil et en apprendre encore plus. Il ne mit pas longtemps pour trouver sa proie, un arrancar d’une arrogance débordante, affichant fièrement son rang, lorsqu’il vit Haine, la première chose qu’il fit fut de l’impressionner avec sa pression spirituelle et lorsqu’il vit l’arrancar qu’était Haine geindre, il s’esclaffa avant de s’approcher de lui, il avait tout de même dut sentir que Haine pouvait être puissant car il lui proposa d’entrer à son service pour le distraire, l’erreur fut de taille car lorsqu’il accepta Haine en son clan, il venait de signer son arrêt de mort. Il se passa plusieurs années ou Haine était un arrancar docile et ou son maitre le montrait comme un bon toutou, Haine lui semblait être dans son élément jusqu’au jour ou il frappa, alors que son maitre, la Nueva Espada était sur le point d’assassiner l’un de ses pairs pour prendre sa place, Haine se glissa derrière lui et sa lame frappa au niveau des poumons sans que son maitre ne puisse réagir, la trahison, c’était tellement délectable.
Lorsqu’il arriva à la réunion de l’Espada, tous commencèrent à le rabrouer et nombreux sont ceux qui se levèrent pour lui faire payer l’insolence de prendre la place de son maitre, mais Haine jeta juste un bout de peau accroché encore à l’oreille de son défunt mentor, sur la joue sanguinolente, le numéro neuf tatoué, preuve d’une chose, le siège n’était plus à celui qu’ils pensaient.
« Voilà la place est libérée, moi Haine Haishin je prends la place si cela ne dérange personne… »
Depuis ce jour, Haine a toujours ses fesses rivées sur son siège et ceux qui tentent de lui prendre disparaissent sans laisse de trace.
- Gros Résumé - -Mort en 1545 durant le Sengoku Jidai, tué par sa soeur après avoir trahit son clan. -Passage au Hueco Mundo, sacrément long en fait où il trouva un coin bien tranquille pour dévorer ses congénères, tapis dans les ombres d'une vallée qui connu avec lui une sinistre réputation. -Arrivé à Las Noches au service des autres, s'installant petit à petit sur la scène, jouant avec ses pions, il a attendu le bon moment avant de prendre une place qui lui était dû. -Est devenu la Bêta-Novena après la prise de pouvoir de Soah et Starrk. Relations | Noboru Horo .... Un type qui semble bien tranquille en apparence... Il fume aussi... Surement pour avoir un style... C'est le genre de type qui doit t'écorcher tout en fumant... ça tâche et en plus sa pue la clope... Alala... ….
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| Raito Murasaki .... Il semble pas vraiment se soucier des affaires de Las Noches et semble autant s'ennuyer que moi dans ce décors monotone. ….
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| Genesis Nightmare .... Un taré, y'a pas d'autres mots qui me viennent à l'esprit, il peut passer du Bisounours sous helium à John la Machette et découper des membres en se marrant en une fraction de seconde... Faut vraiment faire attention avec lui. ….
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