Marchant dans une allée de la onzième division une question m’obnubilais depuis hier soir. Pourquoi ? Pourquoi dois-je effectuer une mission avec ses sauvages de la onzième division ? Oui, je peux le dire, je déteste ses shinigamis passant leur temps à boire, à s’entrainer, à se battre et à user leur force pour profiter des autres shinigamis surtout ceux de la 4ème et quelque fois même de la 6ème. En tout cas je ne les porte dans mon cœur ce qui était tout le contraire de Munishii qui aimait les voir se battre et voir leurs « muscles » dégoulinant de sueur, oui je sais elle a des goûts très bizarre en matière d’homme. Ma présence ici était bien évidemment pas de mon plein grès mais sur l’effet d’une mission que me confit Kuchiki-Taisho hier soir. J’allais être prise en charge par la Yon Seki de la Onzième, en tant qu’héritière de la famille Shizenkai, je me devais d’accepter tout ordre donné par mes supérieurs hiérarchiques que cela me plais ou non. Malheureusement, hier soir je m’étais entrainée avec Yukimura Hanako et donc la fatigue se faisait sentir et pour l’une des rares fois de ma vie j’allais arriver en retard à une mission. Je devais aller au bâtiment principal de la 11ème division, là m’attendais une jeune rousse d’une taille moyenne qui visiblement n’avait pas dormit visiblement longtemps. Par contre moi avec quelque touche élémentaire de maquillage tout cela masquait ma courte nuit d’entrainement au kido. Arrivée près d’elle-même je lui adressais d’une voix solennelle.

« Bonjour, je suis Shizenkai Seika la Roku ban tai Yon seki. Je suis ravie de vous rencontrez »

Bizarrement sa réponse ne m’étonnait, elle voulait que je l’appelle Tsukane-Sama. Et que visiblement c’était elle le « boss » et que je devrais me plier à toutes ses ordres et terminer chaqu’une de mes phrases par « Tsukane sama ». La meilleur c’était de lui remettre mon zanpakûto, rares sont les personnes qui ont déniés me demandé une telle chose. Mon zanpakûto était une partie de moi et me séparer de Munishii était une chose inimaginable mais pourtant j’allais le faire car c’était cela ternirait la réputation de ma famille et également de la 6ème division si on apprenait que j’avais refusé une mission car je ne voulais pas remettre mon zanpakûto. Je portais donc ma main à ma gauche et décrochait mon zanpakûto, celui-ci était considéré comme le plus beau des zanpakûtos en mode scellé de la Soul Society. Il correspondait réellement à la noblesse. Désolé Munishii mais je vais devoir te quitter. Avec délicatesse je portais mon zanpakûto à la jeune rousse.

« Voici mon zanpakûto, Tsukane sama »

Je lui parlais avec respect car il ne faudrait pas qu’elle se fâche car vu son attitude alors que l’on vient tout juste de se rencontrer, j’imaginais déjà les sévices qu’elle allait m’infliger aujourd’hui. Cette journée va donc être longue.

Voilà encore une preuve que cette jeune femme n’avait aucun savoir vivre et aucune politesse. Au moment où je lui remis mon zanpakûto elle me regardait de haut en bas comme pour me « détailler » évidemment on avait le droit de faire cela mais on s’essayait de le faire le plus discrètement possible. Visiblement au vu de son expression je n’étais pas à son « goût », peut-être car je n’avais pas une puissante musculature, des blessures partout et qu’au contraire je me devais d’être une bonne shinigami tout en gardant une certaine élégance. Elle fit une « blague » en disant que bientôt j’allais ressembler à un panda, au début je ne compris pas cette blague mais selon moi cela était peut-être à cause du fait que je m’étais légèrement maquillée pour camouflé mon manque de sommeil flagrant mais cela ne lui plaisait pas visiblement. Avec la brosse du balai qu’elle avait en main elle me poussa en direction du centre de la deuxième cour de la onzième division. Elle plaça le manche du balai derrière ma nuque et plaça mes deux mains à chaque côté de celle-ci, on dirait que j’étais une prisonnière qui partait se faire guillotiner. Elle me frappa la jambe droite et m’expliqua son « exercice » qui devait m’apprendre l’humilité et l’équilibre. J’avais reçu des règles bien précises : je devais constamment avoir le dos droit, la tête levé avec toute ma fierté noble et ma jambe ne devait en aucun cas touché le sol. Elle alla se placer dans une des bâtisses près de la cour pour pouvoir mieux observer à l’ombre et être assise. Les rayons du soleil commençaient peu à peu à s’intensifié et je pouvais entendre des bruits de pas qui se rapprochaient. Visiblement les shinigamis de la onzième division venaient tout juste de terminer leur entrainement matinal et allait rentrer dans l’enceinte de leur division. Cet exercice servait peut-être à me faire tourner au ridicule devant ses confrères ? Elle voulait peut-être me montrer les sévices que pouvait subir les shinigamis d’origine nobles qui visiblement ne leur plaisaient pas. L’exercice en lui-même n’était difficile. Mais pourtant avec des habits de shinigami celui-ci était extrêmement dure et malgré toute la grâce que l'on m'avait enseigné pendant des années cela ne me permettrais pas de réussir pendant une longue durée cette exercice.
Car en tant qu’héritière d’une grande famille noble on « m’obligea » dès l’enfance à apprendre diverses choses d’ordre artistique comme par exemple kokyu , shamisen , la calligraphie et différente danse comme la Nihon Buyô . J'essayais de me garder en l’équilibre sur mon pied gauche mais celui-ci tremblait un peu alors que mon pied droit était un peu relevé derrière mois par contre mon dos était droit et ma tête bien levée.

Si cette jeune rousse voulait me faire souffrir, elle avait bien trouver . Pourtant quelque chose me disait qu’elle allait choisir après cela un exercice beaucoup plus terrible et mesquin. Qu’est-ce que cette femme avait envers la noblesse ? Pourquoi s’acharnait-elle contre moi ? Une rancœur passée ? Ou juste comme pour la plupart des roturières une sorte de jalousie transmit de génération en génération dans le Rukongai envers la noblesse comme j’aie pu malheureusement le constater lors d’une malencontreuse excursion enfant dans les rues du Rukongai. En tout cas cette mission allait durer toute la journée et mon calvaire ne faisait que commencée. Mon regard vert émeraude observait cette jeune femme d’un regard profond et totalement neutre attendant ses "ordres"

Je pouvais les sentir, les regards de certains shinigamis visiblement ce spectacle ne leur déplaisaient pas même plus le contraire. Visiblement faire tournée une noble en ridicule était « un de leur jeux » favoris. Ma très cher « tortionnaire » m’offrait de sa si douce voix un nouvelle ordre, placée mon pied droit sur mon genoux gauche, cette fois-ci serait encore plus difficile. Mais j’essayais au mieux de rester en équilibre et de ne surtout pas tomber. Soudain, j’entendis la jeune rousse parlée à un jeune shinigami qui passait près d’elle, le jeune garçon vint se poster près de moi et exécuté la même pose que moi. Visiblement lorsqu’on entrait à la onzième division, on avait droit à un bizutage plus que conséquent. Etrangement en voyant comment était traité leur camarde les autres shinigamis de la onzième s’enfuir en espérant de ne pas subir le même sort. Je me demandais si Tsu’ elle-même avait reçu une série de bizutage ? Peut-être que comme elle était une femme ceux-ci étaient beaucoup plus nombreux et éprouvants et c’est peut-être l’une des raisons qui justifie qu’elle soit comme cela. Le soleil était à son comble, je commençais peu à peu à transpirée même si je n’étais pas au niveau du petit shinigami qui était totalement trempé. Les rayons du soleil nous brulaient la peau avec ardeur et force, surtout que la sueur effaçait petit à petit la petite quantité de maquillage que je mettais mise et qui ruisselait sur mon visage. Mon regard était toujours tourné vers la jeune rousse qui semblait peu à peu s’endormir, j’aurais pu profiter de cela pour m’enfuir et quitter cette grotesque mission mais étrangement j’aimerais voir jusqu’à quel point elle arriverait.

Une bonne heure plus tard notre jeune tortionnaire ouvrait de nouveau ses yeux, le soleil était affreusement chaud et je ferais n’importe quoi pour une gorgée d’eau. Elle libéra le jeune garçon près de moi qui s’empressa de partir loin de tout cela mais pourtant elle veilla à que je reste moi. Elle s’approcha de moi tout en dégainant mon zanpakûto, j’imaginais déjà la tête que devait faire Munishii alors qu’elle était dégainée par une parfaite inconnue. Elle semblait étudier mon uniforme du regard et d’un coup sans un mot elle porta un coup fulgurant à mon encontre. Alors que je pensais qu’elle voulait peut-être me blesser son coup n’avait fait que trancher mon uniforme. La veste noire fut totalement trancher, les manches également avait été totalement tranché mettant totalement mes bras à nus. Mais le pire c’était qu’elle avait entièrement tranché la veste noire et également une partie de la veste blanche qui exposait un peu trop mon corps surtout au niveau de poitrine. Je ne pouvais accepter cela , en tant que noble ma famille serait horrifiée de savoir que tant de ma chair soit exposée comme cela au grand publique alors que normalement seul mon marie choisit par mon père devait voir. Ma poitrine était quelque peu exposé car la veste c’était transformer en large décolleté. Pourtant, je combattais avec l’envie de couvrir ses parties de mon corps avec mes mains ou n’importe quoi d’autre. Je continuais à la regarder sans baisser les yeux, jeune roturière, tu ne m’es pas supérieur et en aucun cas je te laisserais m’écraser. J’allais donc maintenant combattre d’une certaine manière comme une expression qui disait : « Œil pour Œil, et Dent pour Dent ». Sa petite remarque remplit d’ironie n’allait en aucun cas détruire ce qui différencie le mieux un noble et un roturier, le sang froid. Une chose qu’on nous oblige à garder dans toute circonstance pour ne pas lâcher la honte sur sa famille. Je gardais toujours ma position observant toujours la jeune femme, attendant encore les nouveaux sévices qu’elle m’infligerait.

Visiblement elle ne n’appréciait pas beaucoup mon uniforme. Car encore une fois elle trancha cette fois-ci mon hakama au niveau du genou dévoilant mes jambes, son but était peut-être de me mettre à nue ? Qui sait ? Vais-je accepter cela ? Je me posais la question, jusqu’à où je pourrais supporter. Elle ne s’arrêtait pas là au niveau de la torture physique, car elle me demanda cette fois-ci de plier ma jambe gauche jusqu’à le muscle soit tendu au maximum. Je ne pensais pas m’imaginer que ce simple geste me ferait atrocement mal, mais pourtant je devais lutter et ne pas baisser les bras et combattre la douleur. La jeune rousse s’agenouilla devant moi me regardant dans les yeux m’expliquant que cela ne serait pas rapide et que je ne trouverais visiblement aucun réconfort en tenter d’oublier la douleur mais à un tel niveau de douleur je ne pense pas croire que je pouvais l’oublier. Elle me raconta ensuite son « calvaire » en tant que nouvelle recrue de la onzième division, me disant que les exercices qu’elle me faisait faire actuellement n’était rien devant ceux qu’ont lui obligea à subir. Donc c’était cela à la onzième, endurcir les nouvelles recrues en leur faisant une multitude de sévices pour les transformés comme eux à des brutes sanguinaires ? Dire que cette jeune femme avait passé douze heures en sous-vêtement à la vu de tous en faisant cette exercice, en y pensant je me demandais si elle comptait me faire la même chose. Donc c’est pour cela qu’elle détestait la noblesse ? Si elle ne voulait pas subir cela , elle aurait dû aller dans une autre division comme la huitième , la neuvième ou bien même sixième qui malgré l’abondance de noble possède des shinigamis originaires du Rukongai . Je pouvais m’enfuir facilement avec un shumpo mais il y avait deux choses qui m’en empêchaient : tout d’abord je ne pouvais pas partir sans Munishii cela n’était pas négociable, je ne pouvais partir sans cette partie végétale de moi-même. Ensuite, cela entrainerait de la discorde dans ma famille tout comme la famille Shiba dans un temps qui était connue pour être l’une des familles de la haute noblesse surtout avec l’un de ses membres qui étaient vice-capitaine. Mais malheureusement après la mort de celui-ci la discorde c’est installé dans la famille et celle-ci perdit son statue de noble. La famille Shizenkai avait elle aussi eu de douloureux moment surtout sur le fait qu’elle n’avait aucun réel héritier car pour eux l’héritier devait-être l’enfant qui nait au même moment où un bourgeon de l’arbre Shizenkai éclot. Cet arbre centenère est selon une légende avait été crée par le réaitsu du tout premier Shizenkai maitre de tous végétaux et créa cet arbre pour son successeur légitime.

Ce successeur fut moi, dès ma plus grande enfance un poids énorme posait sur mes frêles épaules. Ma famille tout entière comptait sur moi pour redorer leur blason auprès des autres familles de la haute noblesse et pour cela elle organisa différent gala ou diner avec les différents héritiers de la haute noblesse et leur parent. C’est dans un de ces galas que j’avais rencontré la sœur de Leto puis après Leto. En tout cas tant de sacrifices avaient étés fait pour moi pendant des décennies et je n’allais pas tout faire échouer en abonnant une mission. Un noble n’abandonne jamais une mission sauf si c’est pour l’intérêt de la Soul Society. C’était un engagement que j’avais prise auprès de mon père avant que je devienne Yon Seki de la 6ème division. Donc maintenant jeune Tsukane que comptes-tu me faire ?

Deux heures, deux longues heures où je souffrais affreusement. Je n’aurais jamais imaginé que se serait possible autant, je sentais que mes muscles mourraient à petit feu. Et pour ne rien ajouter le soleil étaient brulant, j’étais à la limite de m’évanouir mais la douleur m’empêchait de faire cela. Tsukane se leva et se dirigea vers moi, elle m’enleva le balai et me frappa au niveau du genou me faisant m’écrouler avec force sur le sol. Visiblement, il était pour elle l’heure de déjeuné, elle me donna une minute de repos mais m’interdit de récupérer mon zanpakûto sous peine d’une punition. L’idée même de récupérer mon zanpakûto ne m’avait guère traversé l’esprit, mon esprit c’était arrêter au moment même où elle dit que elle me donnait une petite minute de repos. Affalée sur le sol, j’essayais temps bien que mal à reprendre mon souffle et à essayer de récupérer des forces. Mon corps était comme engourdit, je n’avais en aucun cas de m’enfuir même si je le voulais, je pouvais à peine me relever.

Malheureusement, une minute est un temps très court et Tsukane revint avec un bol de riz entre les mains. Pour elle, je n’avais pas faim car on avait faim uniquement que lorsque l’on avait fait des efforts donc pour elle cet exercice ne demandait pas un réel effort. Je devais me mettre en position pour faire des pompes, voulait-elle que je fasse des pompes ? Tant bien que mal je me relevais pour me mettre en position de pompe, la jeune rousse s’installa sur moi en position de lotus visiblement je devais rester dans cette position pendant un certain nombre de temps. La jeune femme n’était pas lourde mais mon corps était déjà très affaiblit, je sentais mon corps criée mais je m’efforçais de ne pas crier serrant des dents au maximum. Mais mes yeux semblaient peu à peu voilà par un liquide et des goûtes tombèrent de mes yeux, malgré ma grande détermination je ne pouvais pas garder une telle douleur en moi sans que mon corps n’exprime. Des larmes sortaient de mes yeux alors que mes jambes et mes bras tremblaient de plus en plus sous le poids de la jeune fille.

J’essayais pourtant de rester droite pour ne pas subir le courroux de ma tortionnaire, car malgré le fait qu’on soit à la moitié de la journée celle-ci pouvait m’infliger encore plus de sévices alors que mon corps ne pourrait surement rien faire après l’exercice que l’on faisait actuellement. Enfin je disais mais je pleurais de plus en plus même si j’efforçais de fermer mes yeux pour ne pas pleurer, je ne devais pas montrer à cette femme que j’étais une femme faible. Je devais l’avouer, je n’étais pas une « guerrière » comme elle, cette mission aurait eu le mérite de m’ouvrir les yeux une nouvelle fois sur mon niveau. Pourtant j’avais d’autre talent comme le kido qui demandait de l’intelligence, de la maitrise et de la précision. Peut-être que sur ce terrain là, je pourrais la battre. J’essayais de penser à autre chose mais la douleur était toujours là, mon corps tremblait et j’espérais qu’aucun grain de riz ne tombe car je ne pourrais surement pas le supporter. La douleur était beaucoup trop atroce et ma bouche ne pouvait plus conserver une telle douleur et donc un cri de douleur s’échappa de ma bouche.

« AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH »

Honte. Voilà le terme qui qualifierait le mieux le sentiment que j’avais en ce moment. J’avais honte de moi, malgré le fait que je souffrais énormément, je ne devais pas et je ne devrais normalement pas pleurer devant une personne d’une autre division. Un shinigami ne devrait aucun moment pleurer et encore moins une noble. Visiblement mon calvaire physique n’allait que devenir de plus en plus intense car la jeune rousse me frappait avec ardeur avec ses baguettes sur mes fessiers à plusieurs reprises. Cela l’amusait de me frapper un peu partout avec ses baguettes mais elle ne s’arrêta pas à là car puisque mon cri de douleur lui avait semblait-il briser les tympans et donc elle m’ordonna comme punition de descendre encore plus bas. Que se soit physiquement ou mentalement cela pour était impossible, je souffrais déjà trop en restant dans la position où j’étais et je devais encore descendre ? Pourtant je le fis et non sans mal et sans crie, mon corps tremblait de plus en plus et je me demandais si un seul grain de riez était tombé. Elle recommença à m’infliger divers coups de baguette avec rapidité et surtout force au niveau des côtes et l’arrière des cuisses. Soudain, je sentais qu’il avait du mouvement sur mon dos et je sentais que cette fois-c la jeune femme était non pas assise mais debout sur mon dos rendant ma tâche encore deux fois plus difficile et immensément plus douloureuse. Je ressentais presque aucun réaitsu aux alentours alors qu’il y a peu de temps je pouvais encore pressentir quelques sources de réaitsu mais maintenant rien. On dirait que ce petit spectacle malgré ce que je croyais n’était pas vraiment du goût de tout le monde et que Tsukane était devenu une sorte de terreur dans une division qui symbolisait la terreur dans la Gotei 13. Quelque chose d’étrange se passa ensuite, elle me demanda de lui réciter les quarante premiers bakudos, pourquoi voulait- elle savoir cela ? Peut-être parce que elle ne l’est connaissait pas ? J’avais entendu dire que à la onzième division, on détestait tout ce qui avait un rapport avec le kido et que même ceux qui avaient un zanpakûto de type kido était sauvagement lyncher. Dans d’autre circonstance cela serait d’une grande facilité pour moi de les dire mais , je ne savais même pas si j’avais la force pour prononcer les 40 bakudos . Je rassemblais donc ce qui me restait de force , j’essayais de ne pas avoir une voix trop tremblante même si je savais que cela était une chose quasi impossible dans la position où j’étais.

« Bakudō no ichi : Sai ; Bakudō no yon : Hainawa ; Bakudō no hachi : Seki ; Bakudō no kyū : Geki ; Bakudō no kyū : Hōrin ; Bakudō no nijū ichi : Sekienton ; Bakudō no nijū roku : Kyokko, Bakudō no sanjū : Shitotsu sansen ; Bakudō no sanjū nana : Tsuriboshi ; Bakudō no gojū hachi : Kakushitsuijaku ; Bakudō no rokujū ichi : Rikujōkōrō ; Bakudō no rokujū ni : Hyapporankan ;Bakudō no rokujū san : Sajo Sabaku ; Bakudō no nanajū san : Tozanshō ; Bakudō no nanajū go : Gochūtekkan ; Bakudō no nanajū nana : Tenteikūra ; Bakudō no nanajū kyū : Kuyō Shibari ; Bakudō no hachijū ichi : Dankū ; Bakudō no kyūjū kyū : Kin ; Bakudō no kyūjū kyū : Bankin »

Je les connaissais par cœur pourtant ma voix avait été beaucoup plus tremblante mais pourtant ce que je disais était compréhensible.

Visiblement, la jeune rousse se semblait à son aise sur mon dos. Alors que j’énumérais les différentes techniques de bakudos, elle ne disait absolument rien comme-ci elle était rêveuse. Quand elle sortit de son état second, elle disait que j’étais bonne pour la division zéro, elle ne devait pas savoir que j’étais originaire de cette division qui était également appelée Corps Kido. D’un coup la jeune femme se leva de mon dos mais s’appuya au maximum sur mon dos pour me faire le plus mal possible qui a eu pour effet de m’affaler contre le sol. Elle m’indiqua un mur qui était proche de nous, malheureusement ce mur était au à l’endroit où les rayons du soleil étaient le plus brulant. Elle m’ordonna d’aller contre le mur brulant mais le pire c’était que je devais me mettre en poirier. Son esprit contenait donc encore bon nombre de sévices à m’infliger, mais je devais m’exécuter sinon la sanction serait bien pire. Etant déjà grandement fatigué, j’essayais de me mettre en poirier et le pire c’est qu’elle ne voulait pas que je bouge. Se qui était totalement impossible mais laissons là trouver des prétextes pour m’infliger d’autre torture. Elle s’en alla quelques instants. Quand elle revint en ma direction, elle avait dans une main une planche de bois et de l’autre un seau remplit d’eau. Elle plaça tout d’abords la planche sur mes pieds et plaça en suite en équilibre le seau d’eau. La planche de bois n’était pas très stable au moindre mouvement le seau se renverserait sur moi, étrangement par rapport aux autres, cet « entrainement » ne semblait pas éprouvante au contraire. Si ce seau d’eau me tombait dessus cela me serait bénéfique car au vu de la chaleur un peu d’eau ne me ferait pas de mal. Mais je devais prendre en compte le facteur « Tsukane » car elle n’aurait fait cela pour que je puisse me rafraichir. Qu’avait-elle bien en tête ?

De toute façon que je le veuille ou non la planche commençait déjà à quelque peu onduler. J’étais beaucoup trop fatiguer, mon corps allait bientôt rendre l’âme et n’allait plus pouvoir bouger pendant un moment. Et se qui allait se passer se passa, le seau d’eau tomba sur moi. C’était un pur bonheur, l’eau était fraiche et extrêmement rafraichissante pourtant j’eu à peine les teams d’esquiver le seau d’eau qui allait fondre sur ma tête. Je sentais étrangement que mes habits collaient à mon corps épousant chaque courbe de mon corps et là en regardant le haut mon corps je constatais pourquoi la jeune rousse m’avait fait faire cette exercice.

Précédemment elle avait tranché mon uniforme de shinigami en le raccourcissant, le rendant indécent pour une noble de mon rang mais elle avait également découpé la première partie noire du haut de l’uniforme ne laissant juste la partie pour protéger l’intimité de mon corps. Mais comme bon nombre de gens savent lorsqu’on mouille un habit blanc celui-ci devenait transparent. Avec réflexe je protégeais l’intimité de mon sous-vêtement qui était devenu visible à cause de la transparence de l’habit. J’étais l’assise protégeant tant bien que mal le peu de dignité qui me restait