| | | Où est passé la septième com...division? |    |
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 | | Sujet: Où est passé la septième com...division? Jeu 18 Nov - 17:12 | |
| L’enseignant avait probablement eu l’idée de sa vie aujourd’hui, beaucoup d’autre du même rang s’étaient toujours demander comment se débarrasser de Yongil Liet pour des raisons valables autre que l’insubordination quand il était calme, ou après avoir causé du grabuge.
L’envoyer accomplir des tâches dans les divisions de shinigami du gotei treize ! L’aspirant turbulent ne se douterait pas que c’était pour l’éloigner, prenant ça comme une mission gratifiante et une occasion de voir de plus prêt ceux qu’ils voulaient rejoindre. La mission ? Apporté une liste d’élève prometteur qui iraient bien dans la septième division au sanseki de cette division justement. La cause ? Une bagarre entre Liet et un autre élève qui se disputait au sujet du meilleur capitaine du gotei treize, aucun des deux n’obtenu raison, juste un œil au beurre noir pour le blond et l’autre s’en sortir avec le nez cassé.
La tornade blonde frottait son œil gonflé tout en maudissant l’autre « abruti ». Il tenait dans sa main libre l’enveloppe à remettre au Sanseki, l’enseignant lui avait donné le nom de la personne, mais comme à son habitude, Liet n’avait écouté qu’à moitié et tout ce qu’il avait retenu était le grade du personnage. Enfin le Yongil s’en fichait pas mal, s’il le fallait, il questionnerait chaque shinigami sur son chemin pour trouver la bonne personne, mettant tout son savoir faire dans le domaine de « comment être bien chiant. » pour y parvenir. Dernièrement Liet avait beaucoup déçu ses parents, son frère et sa sœur, il était sur la sellette et devait se rattraper, donc s’il parvenait à mener à bien cette mission, la tornade blonde remontrait dans l’estime familiale, bien qu’aucun des Yongil ne soit vraiment fâché contre lui, enfin c’est ce qu’il pensait.
Enfin les quartiers de la septième division, le jeune aspirant laissa échapper un soupir et se remit en quête du sanseki, d’abord il pensa à demander à un shinigami, mais une autre idée germât dans sa petite tête de sale gosse. Le nana ban tai taishô avait l’habitude de cacher son visage derrière un lourd masque, le gamin s’imaginait déjà moult occasion et autre stratagème pour regarder sous le masque du capitaine. Une large sourire se dessina sur le visage juvénile du blondinet qui ne regardait pas où il allait et se cogna contre un shinigami. Se frottant le front Liet leva la tête et dit.
-Scusez moi, je n’avais pas fait attention. Je cherche le Nana ban tai sanseki. Vous savez qui c’est ?
Le jeune homme garda bien de révéler qui il était et pourquoi il était venu, après tout, cela ne regardait peut être pas l’homme en question. Sauf si bien sur c’était lui le sanseki, auquel cas Liet se verra obliger de tout lui dire et de lui remettre le document, sans pouvoir tenter de retirer le masque de Komamura Taishô.
(Désolé c'est court ><) |
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| | Sujet: Re: Où est passé la septième com...division? Sam 20 Nov - 20:31 | |
| Il faisait chaud. Terriblement chaud. C’était d’une telle atrocité qu’on pouvait cuire un œuf à même la dalle bleuâtre qui recouvrait les passages de la plupart des ruelles du seireitei. Les différents sièges peinaient à vue d’œil à s’exposer dehors, histoire de s’entraîner. Certains rechignaient à effectuer leurs tâches respectives. D’autres étaient complètement hors service. Pour ne pas dire que le coin évoluait au ralenti. Pffff ! L’ennui, j’vous jure. Quand pour une fois, l’héritier des Kojima décidait d’se mettre au boulot en bravant courageusement sa fainéantise de toujours, voila que ses subordonnées l’abandonnaient lâchement. En même temps, lui avait un gros avantage, qui se révélait être sa peau mâte qui s’accommodait très bien à cette saison estivale. Il avait envie de péter un câble en frappant quelques uns, mais se ravisa, lorsqu’il constata même que son lieutenant peinait lui aussi à s’aventurer sous la rudesse de l’astre dominant du jour, surtout que cette envie ne ressemblait en rien à son comportement. Il était parfois pathétique c’mec quand même. Il le saquait pas trop de toutes façons, alors bon. Faut pas s’mentir, il y avait un peu de jalousie, quand à l’honorable place de lieutenant, mais après, tout sa personnalité ne l’enchantait guère, quand il le regardait se jouer au lèche bottes du capitaine, qui n’avait besoin de ça pour le maintenir à ce poste. L’fait de le voir crier, sautiller partout autour du boss comme un crétin de lapin en rut, ça l’tapait sur le système. Mine de rien quand même, il était assez fortiche au niveau du zanjutsu, et tout ce qui allait avec, d’où la certaine estime que Ken avait pour lui, m’enfin, là encore, c’était une toute autre histoire…
Un accès de flemmardise vint à envahir tout son être, causé par la passivité de la journée, et surtout de la septième division. Il recommençait à devenir mou, en plus de s’ennuyer. Pour palier donc c’manque d’actions, comme d’habitude, Kensei se mit à faire les cent pas dans les recoins de la division. Une sorte de patrouille routinière, si l’on peut dire ainsi. Il allait par la même occasion, mettre tout en ordres dans les différents locaux qu’il traverserait, histoire de passer rapidement le temps, si cela n’était pas déjà fait, même. C’est lors de cette petite ronde en solitaire, qu’il se rendit compte que le soleil tapait vraiment fort. Il avait heureusement eût la présence d’esprit de ne pas s’emporter contre quiconque. Il pouvait aisément les comprendre et les plaindre. Les pauvres. Qui sortirait avec un pareil temps ? Même son capitaine restait terré dans ses appartements. Mais ça, après, ce n’était pas comme si ses habitudes en étaient ternies. Comme à l’accoutumé, il se reculait dans son coin. Il n’y avait pas plus taciturne que ce mec. Il soulevait bon nombre de mystères. M’enfin, à force, Kensei s’habituait, et ne chipotait plus vraiment sur ce sujet… Il était obsolète à force, pour ceux qui le côtoyait, un tant soit peu, m’enfin…
A force de pensées intérieures, et profondes, le troisième siège arriva devant le premier local à vérifier. Un peu d’ombre ne lui ferait finalement pas de mal. Il y entra à la hâte, et s’étonna de voir que tout le matériel était en bon état. Le rangement était impeccable, et il n’y avait aucune once de saleté à récurer. Incroyable ! Oui, c’était véritablement le bon mot pour qualifier ce qu’il voyait. Car même sous le commandement d’un homme aussi correct que le capitaine Komamura, ses hommes étaient quelques fois désordonnés, et Kensei ne faisait pas vraiment exception, surtout quand il avait une flemme pas possible. Imaginez la onzième division, mais en moins pire. C’était quand même notable. La septième était guerrière, mais moins bourrine que la onzième, d’où l’ombre que cette dernière lui faisait. C’était rageant parfois, mais que pouvait-on y faire ? Amèrement donc, il balaya une dernière fois la salle de son regard d’or, et referma la porte traditionnellement coulissante du local, avant de s’avancer vers d’autres locaux.
Le résultat était le même. Partout, régnaient l’ordre et l’impeccabilité. Résigné, Kensei s’arrêta de farfouiller la division, à la recherche du petit détail caustique. Il finit par s’asseoir sur une terrasse du dernier dojo qu’il eut visité. Sortant un mouchoir de sa poche, il s’épongea correctement le front ruisselant. Une journée parmi tant d’autres finalement. Rien ne changeait. Lorsqu’il finit de déloger la sueur gênante, il poussa un soupir, et se leva, continuer sa déambulation jusqu’à ses humbles quartiers. Sa marche était tranquille, à l’ombre de quelques cerisiers qui parsemaient la bordure du chemin qu’il empruntait. Le vent quasi inexistant fit un effort pour le bon bénéfice de Kensei qui ne refoula en aucun cas son bonheur de sentir une légère brise fraiche venir apaiser les souffrances de son épiderme. A peine se délectait-il de ce moment précis, qu’une masse, aussi légère soit-elle, vint troubler sa petite quiétude, en le bousculant de façon véhémente. Loin d’avoir perdu son équilibre, Kensei tourna sa plusieurs fois sa tête l’air ahuri, à la recherche de la cause, de cet insignifiant carambolage. Ce n’est que lorsqu’une voix s’éleva, qu’il put enfin voir cette espèce de touffe blonde. Il ne l’avait capté que distraitement… Seules ses excuses avaient été facilement assimilées…
• Hm ?
Un gosse. Tout ce qu’il y a de plus banal. Ah non ! C’était pas banal. Qu’est ce qu’un môme faisait ici, dans la septième division ? Une nouvelle recrue ? Pas possible. Il était tellement débordé de pensées, tout d’un coup, qu’il en oubliât même la tenue d’académiciens qu’il portait. Cela n’avait pas d’importance de toute façon. Lentement donc, Kensei se retourna complètement vers lui, et s’accroupit, histoire d’être à sa hauteur…
• Hoooooo… Mais c’est qu’ils t’ont foutus une bonne raclée on dirait, dit-il d’un ton purement moqueur.
Ce qui était foncièrement le cas. Il se moquait réellement du petit blondinet. Pointant de son index gauche, son œil sans aucun doute endoloris, le troisième siège de la septième cour, se mit à camoufler sa bouche à l’aide de l’autre main puisqu’il s’amusait à grimacer, histoire de ne pas éclater de rire ouvertement, sans même avoir su, le pourquoi du comment de ce qui s’apparentait à un règlement de compte…
• Alors alors ? On est perdu, bon garçon ? La grandeur du seireitei, c'pas de la rigolade pour les jeunes, il parait...
{Pas terrible non plus...}
Dernière édition par Kojima H. Kensei le Sam 27 Nov - 11:10, édité 1 fois |
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| | Sujet: Re: Où est passé la septième com...division? Ven 26 Nov - 13:56 | |
| La chaleur écrasante, une mission plus ou moins chiante, une division vraiment trop grande et des shinigami à la ramasse. Voila tout ce qu’avait récolté Liet aujourd’hui, d’ordinaire il aurait tout fait pour être exempter de cette corvée, s’il n’avait pas été berné par l’enseignant qui voulait se débarrasser de lui. Bref le jeune Yongil pensait que c’était une mission de premier ordre qui lui vaudrait des points bonus dans l’estimation des profs envers lui, et ça permettrait aussi à sa famille de ne plus l’avoir sur la grosse dent. La tornade blonde avait un petit peu trop dévasté d’endroit ces derniers mois, et cela ne plaisait pas du tout au clan.
Voila donc que le noble devait trouver le troisième siège de la septième division, afin de lui remettre une enveloppe contenant divers nom d’académiciens désirant rejoindre cette-même division, leurs aptitudes et appréciation des enseignants. Liet rêvait que ça soit enfin son tour, qu’on porte une lettre avec son nom dedans vers la onzième division, qu’on considère le dernier né des Yongil enfin comme un shinigami, enfin, cela se fera le jour ou il découvrira son shikai.
Durant sa marche pour trouver le sanseki, Liet heurta un shinigami, s’excusant poliment et demandant si cette personne pouvait l’aider à trouver celui que cherchait le Yongil. Au lieu de cela, le shinigami s’abaissa à sa hauteur, ignorant sa question et ses excuses pour se moquer de son œil gonflé, ce qui énerva légèrement le blondinet. Histoire d’en rajouter une couche, il camoufla son hilarité avec sa main et insinua que la taille du seireitei troublait le jeune garçon qu’était Liet et que ça n’était pas de son niveau. La mâchoire crispée, les veines qui battaient ses tempes, le jeune garçon cherchait déjà une centaine de moyen de se payer la tronche du shinigami face à lui, oubliant carrément sa mission. Déjà un sombre plan germa dans la tête du sale gosse et ce dernier le mit à exécution. Alors qu’il pointait le ciel de son index droit, afin que son interlocuteur regarde en l’air, il décocha un violent coup de pied dans le tibia du shinigami, non content de lui infliger ça, Liet s’enfuit en courant à coté de lui, simulant être en larme et hurlant partout.
-AU SECOUR LE MECHANT MONSIEUR IL VEUT ME TRIPOTER !!!! IL M’A FRAPPER !!! REGARDEZ MON ŒIL !!!
Geignant, pleurant, courant et hurlant partout en pointant le shinigami du doigt, à chaque fois que des gens passaient. Plusieurs shinigami étonné se rameutèrent et jetèrent un œil sur la scène, leurs regards passant du blondinet au shinigami accusé à tord. Certain chuchotaient entres eux, d’autre lançait un regard noir sur l’accusé et les derniers se contentèrent de rester les bras ballant, étonné. L’un d’eux parla assez fort pour que Liet entende, disant que le troisième siège de la septième division, n’aurait pas pu faire ça, mais qu’il avait un doute. Soudain le dernier né des Yongil se figea, le troisième siège ? Quelle merde avait-il encore fait, mais sanseki ou pas, il l’avait mérité cet idiot. |
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| | Sujet: Re: Où est passé la septième com...division? Sam 27 Nov - 11:15 | |
| Il le sentait, si ce n’est même qu’il le savait. Malgré les contorsions de son faciès qu’il essayait tant bien que mal de camoufler, Kensei distinguait quand même la mine fulminante du gamin. C’était fort compréhensible. Cela n’était pas dans ses habitudes de se moquer de quiconque, et pourtant, il n’avait pu s’empêcher de le faire en voyant la sale tronche du blondinet ponctué par son œil gonflé. La tentation avait été trop forte pour son esprit frivole. D’un certain côté, il s’en voulait, mais de l’autre, un petit truc, et il ne savait lequel, le poussait à en rire, sans même avoir su, s’il avait défendu un de ses camarades, où un truc dans le genre. Ayant été lui aussi enfant dans le seireitei, le troisième siège de la septième division savait que fréquemment, se déroulaient maintes et maintes bagarres entre les académiciens. C’est dire comment pouvaient être susceptibles ces petits pimpants, et comment il en avait lui aussi fait les frais lors de son apprentissage, lorsque certains gamins originaires du Rukongai lui cherchait des noises. De ce fait, il ne broncha pas lorsque celui-ci, trop prévisible, lui décocha un coup sur sa jambe. Il n’avait pas levé instinctivement la tête, lorsque celui avait pointé l’ciel. Il faisait trop chaud, et l’idée d’avoir l’astre solaire en vue n’était guère plaisant. Lentement, il tomba sur ses fesses, et lâcha un soupir. L’petit chenapan ! Il frappait fort mine de rien. Il était déjà accrocheur à son âge. Sur le coup, il se doutait bien de la division que celui-ci s’attèlerait à rejoindre. Un tel comportement fougueux ne pouvait être que compatible avec la onzième division. Mais bon, ne savait-on jamais. Et là n’était pas le plus important. Fesses à même le sol, et quand bien même qu’il savait qu’il cela ne s’arrêterait pas à ce coup de pied, Kensei s’étonna quand même de l’ampleur que prit son foutage de gueule. Apparemment, il avait atteint l’égo d’ce petit qui n’avait plus que comme vengeance, l’égosillement. Quelque peu surpris, il finit quand même par se ressaisir en souriant, les yeux fermés, une main agencée sur la tête. Qu’aurait-il pu faire pour l’arrêter, et à quoi bon ? Sans esquisser le moindre mouvement susceptible de trahir un acte véhément, le grand malabar écoutait les pas accumulés dans le coin, signe que la plupart des membres venaient voir ce qui se passait. Leurs marmonnements n’affectaient en rien Kensei. Ils étaient indécis, et c’était normal. Qui ne croirait pas, non sans mal, les aveux soudains d’un jeune enfant à l’œil bousillé, presque pleurnichard ? Les femmes surtout, de part leur instincts protecteurs lancèrent à Kensei des œillades noires. Une manière de lui faire pays ses escapades dans les différents sources exclusivement féminines. Lui ouvrit les yeux, et les posa sur certaines, en prenant un air à la fois, hébété et désolé. Il attendait que le blondinet finisse ses caprices avant d’énoncer une quelconque parole, grattant machinalement sa tempe droite. Ce qui ma foi, ne tarda point, puisqu’un LOYAL sujet comme on ne les trouvait plus, énonça clairement son indécision sur le sujet. Un au moins qui ne prenait parti. C’était déjà bon. Tout de même clairvoyant, le silence brusque de la p’tite bête à chevelure blonde ne passa pas inaperçu aux yeux de Kensei. Pourquoi s’était-il précipitamment arrêté ? Serait-ce parce qu’il se sentait à découvert, où parce que…
• J’ai toujours la flemme de tuer un hollow, alors toucher un gosse…
Hilarité générale. Si Kensei était bien connu dans cette division, ce n’était pas seulement à cause de son grade, mais bien à cause de sa fainéantise légendaire. Plus paresseux que le troisième siège ? On n’en trouvait certainement pas. Sa vraie était tellement pourrie en son genre, mais tellement abrupte, qu’elle fit rire presque tous les membres autour de la scène, qui s’avérait maintenant amusante. Lui aussi débita un sourire amusé, et lança un regard amusé au jeune garçon. A présent, tout le monde ne le croyait plus. On savait le troisième siège incapable de faire ce genre de choses. La violence et Kensei ? C’était une relation assez complexe, dont l’origine de cette ambigüité était sa nonchalance. Même que pour se relever, il prit un certain temps, si ce n’est un siège assez musclé comme lui qui vint l’aider. Encore une fois, moquerie. Le protagoniste soupira, et se mit à maladroitement gratter sa tête, d’une once de gêne. C’était un peu trop là. Certains l’auraient même applaudi, s’ils n’avaient pas leurs mains entrelacées sur leurs côtes, histoire de se retenir de rire. D’autres, dont la scène ne s’apparentait qu’à une perte de temps, se retournèrent vaquer à leurs différentes occupations de la journée. Les derniers avant de partir lancèrent à l’enfant qu’il valait mieux qu’il retourne chez lui au plus vite. Il n’avait pas tort en soi. Mais bien avant, Hatake, lui, allait lui poser certaines petites questions. Il reçu une tape amicale sur l’épaule, par celui qui l’avait aidé à se relever, et ce n’est qu’après son départ, soit le dernier, qu’il reprit la parole avec contenance, et sincérité…• Désolé… Tu as eu raison de te comporter de la sorte. Mais je suppose que tu t’en branles non de mes paroles… ? Pour me faire pardonner, je veux bien t’aider, et te servir de guide ici. On pourra même aller dans un restaurant, pas très loin, où ils font de bons ramens. Ca te branche ? D’ailleurs, pourquoi t’es tu retrouvé jusqu’ici ? C’quand même loin, l’académie…Un pas fluet, et Kensei était déjà devant l’enfant. Port d’un shunpo rapide, marquant sa paresse d’effectuer quelques foulées normales. Son visage se voulait bienveillant, et son sourire également. Il était clair qu’il ne réussirait pas aussi vite à s’attirer la sympathie du jeune, maintenant qu’il l’avait mit en colère. Mais ne disait-on pas que patience était chemin d’or ? Encore une phrase bizarre qu’il avait entendu, lors d’une de ses missions dans le monde réel… Elle avait quand même tout son sens, quand on y réfléchissait de plus près. |
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