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 Sous l'effet de la mélancolie {Fubuki Toya}

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MessageSujet: Sous l'effet de la mélancolie {Fubuki Toya}   Sous l'effet de la mélancolie {Fubuki Toya} EmptyMar 9 Nov - 8:26

L’effectivité du train-train quotidien, à la soul society, engendrait une certaine lassitude qui ne passait inaperçu. Tous les shinigamis s’ennuyaient terriblement, et pour cause, le manque d’actions remarquables dans tel ou tel recoin. On aurait même dit que certains hollows chômaient, puisque dans le monde réel, n’était affecté aucun groupe d’officiers. Bien qu’étant de bon augure, agrémentée d’une pointe d’inquiétude, la situation était tout de même désespérante, et la répétition des actions à chaque moments des journées qui s’écoulaient lentement, exaspéraient plus d’un. Ces circonstances s’apparentaient réellement à un rembobinage d’une cassette vidéo, puisque qu’en gros, les jours au seireitei se résumaient à quelques mots :

Boulot administratif – Nourriture – Entrainement – Repos.

On sentait une certaine subjectivité dans ce constat, mais de la part de Kensei, elle n’était point dominante. Il était pitre à toute longueur de journée certes, mais il savait aussi observer ses subordonnées quand il avait un moment de libre. Certains passaient la plupart du temps à glander, tandis que d’autres se terraient dans différentes buvettes des tous premiers quartiers du Rukongaï. Lui, malheureusement, pouvait se garder d’effectuer ce genre de choses vu les nonchalances momentanées de son lieutenant qui ne se gênait point pour lui refiler tout le boulot, sans ne serait ce qu’un seul remord. Personnellement, cela n’embarrassait en rien le protagoniste qui se donnait à cœur joie à la tâche imposée. N’était-ce pas mieux que de rester dans un coin à s’ennuyer à mourir, surtout qu’il n’avait pas tellement de relations « amicales » à proprement parler ? Pour lui, c’était non seulement l’occasion de connaitre on ne peut mieux les systèmes qui érigeaient toutes les circonscriptions de la race à laquelle il appartenait, en plus des différentes péripéties de ce monde si complexe que pouvaient contenir subtilement quelques paragraphes de la paperasse qu’il s’attelait à régler. Plus le temps passait, plus Kensei s’enrichissait culturellement, mis à part l’éducation qu’il eût reçu au seireitei. Il n’y avait que des avantages, pour lui, grand paresseux de son état devant l’éternel, refusant à ses propres jambes, d’opter pour un simple shunpo histoire d’arriver à la grande bibliothèque qui avait les portes grandes ouvertes aux shinigamis désireux d’apprendre. Un vrai cas qui se complaisait dans cet élan de facilité, ne demandant qu’un minimum de centralisations, que cédait volontiers l’héritier des Kojima. N’ayant d’ailleurs que cela à faire…

Le vice capitaine avait un jour pourtant, décidé de prendre véritablement ses responsabilités. Kensei s’en mordit les lèvres, et fut malheureusement obligé d’accompagner ses officiers envers qui, il n’avait plus aucune excuse pour une insignifiante échappatoire. Il n’aimait pas spécialement les paperasses, mais elles l’aident grandement à faire passer le temps, vu la quasi-absence de missions, en lieu et place d’une journée chaude, où le saké pur, serait seul breuvage à ingurgiter. Sans vraiment âme à faire la fête, il suivit quand même ses compagnons, histoire de ne pas être mal vu, lui qui avait déjà une connaissance restreinte de ses semblables. Modérément, et pour faire plaisir, il en but une certaine quantité, et se força à maintenir des sourires, nonobstant le cœur qui n’y était pas. Patiemment, il attendit que tous soient saouls - Ce qui ma foi, dura une éternité, vu leur ténacité face à l’eau-de-vie - avant de s’éclipser de la buvette en réglant lui même la somme astronomique que coûtait toutes les bouteilles d’alcool de riz. Une démarche de remerciement de la part du troisième siège, qui une fois dehors, s’étira de tout son long, baume au cœur, juste avant le crépuscule qui se dessinait devant lui. Une belle vision panoramique, un sourire, et une disparition véloce suite au port d’un shunpo…

Vint enfin le début de soirée. La teinte de la voûte céleste avait littéralement changée. La nébulosité du ciel, différente des soirs coutumiers, annonçait une giboulée. La brise nocturne était assez fraiche à en faire frissonner, ponctuant la perturbation du temps, qui était radicalement chaud toute la matinée. Ces contingences étaient relevées d’une pointe de mélancolie, en plus d’être fastidieuses. Perché sur une branche d’arbre, sur une cime à proximité d’une forêt, Kensei s’éloignait dans la contemplation du ciel annonciateur. Il finit par revenir sur terre, en clignant des yeux, suite à une petite bourrasque qui s’amusa à ébouriffer ses cheveux plus qu’ils ne l’étaient déjà, et agença son écharpe lactescente autour de son cou, histoire de ne pas attraper froid, jusqu’à partir quémander un médicament à la quatrième. Mate de peau, il ne tenait pas vraiment ce genre de saisons, mais préférait bien rester dehors, que dans un local bruyant, et grouillant de monde. D’un air finalement soupirant, il finit par sauter de son perchoir, et s’assit contre le tronc de l’arbre sur lequel, il était dressé verticalement auparavant. Le lieu où il se trouvait, n’était pas tellement éloignée de la dixième, puisque de sa colline pouvaient être aperçus des officiers de cette division qui rentraient d’entrainement semblait-il. De sa petite sacoche, il sortit un bout de graphite, ainsi qu’une grande feuille vierge, et se mit à crayonner vaguement le terrain verdoyant qui lui faisait face. A mi-chemin de sa représentation, il s’arrêta, observa minutieusement les alentours en quête d’une herbe comestible, mais ne trouva quedal. Le troisième siège de la septième division déposa alors le dessin inachevé à sa droite, sous une pierre qui la protégeait de la force du temps, et s’amusa à écouter le subtil murmure qu’occasionnait mélodieusement le vent, une main dans sa chevelure neigeuse…
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| Jû Ban Taï San Seki |
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MessageSujet: Re: Sous l'effet de la mélancolie {Fubuki Toya}   Sous l'effet de la mélancolie {Fubuki Toya} EmptyDim 28 Nov - 12:44

(
"Today is a peaceful day.."


Une étendue d’eau à la fois froide et chaude, une température qui est capable de varier en fonction de ses humeurs, une température qui est sienne mais qui peut lui échapper si facilement. Elle nage dans l’océan de son esprit sans se soucier s’il s’agit de la réalité ou bien d’un de ces innombrables rêves qu’elle faisait. Ses cheveux noirs ondulent dans l’eau, elle apprécie le liquide comme on apprécie une glace que l’on savoure lentement. A ses cotés une femme aux cheveux blanc et une autre aux cheveux noirs se prélassent, faisant la planche tout comme elle.
Franchement moi je trouve que la vie est plus facile dans l’eau – Vraiment ? Je ne pense pas, parfois il faut savoir se sortir du liquide protecteur – chuut princesse tu ne peux pas nous contredire toya… -C’est vrai dans un sens…-Bah après tout ce n’est qu’un rêve…-Un rêve…PFFFFF toujours aussi peu instruite au niveau du vocabulaire, si peu d’esprit…..
Elle immergea de son sommeil. Le soleil se mourrait lentement sur sa peau, venant transcender le noir qui imbibé sa vision, ou plutôt sa non-vision , dormir est une chose commune mais il fallait énormément d’exercice pour pouvoir dormir sans avoir les paupières closes. Son lieutenant vint la voir alors qu’elle se reposait sur un canapé de la division. En un mot « paperasse »,pfff Lieutenant indigne incapable de faire son devoir par elle-même.

Elle s’escrima donc à remplir les dossiers de la dixième division un par un, scrupuleusement, simplement et efficacement, le tout était de faire vite et bien pour avoir son après-midi de libre. Certains membres passèrent devant ses quartiers, la saluant avec respect et effroi à la foi, car même si elle était d’une beauté attractive, cette aura glaciale comparable à celle de son capitaine pouvait se faire sentir tout autour d’elle et ce même si elle avait ce sourire charmeur et attentionné qui permet à tous de se dire « tient en voila une qui est aimable ». Elle sortit alors ce petit appareil qui était bien à la mode dans le monde des humains : Ipod au pouvoir ! En se mettant à chantonner les airs qu’elle écoutait alors que la paperasse défilait à une allure maximale sur son bureau.

"Voyons le coté positif :…ça occupe ."

Enfin essaye-t-on plutôt de s’en convaincre. L’après midi était à moitié commencé lorsqu’elle eut enfin finie toute cette paperasse. Elle avait décidé de passer son temps libre dans le petit étang qui bordait les quartiers de la dixième division, histoire de pouvoir être un peu seule. Non pas qu’elle soit associable ou quoi que ce soit, juste qu’en certains cas il est plaisant d’être seule. Elle s’allongea là et passa la plus grande partie de l’après midi à s’entrainer au maniement de son zanpakuto, toujours à la recherche de ce vrai nom qu’elle lui cachait inexorablement. Après une journée à passer dans cet espace d’entrainement elle sentait ses muscles montrer les tous premiers signes d’une fatigue chronique, poussant un long soupir elle se retint une insulte quelque peu mal placée. Elle plongea dans l’étang où elle prit un repos bénefique, alors que son zanpakuto se matérialisait à coté d’elle. La jeune princesse de blanc vêtues lançait ses yeux rubis sur son possesseur.

« Toujours pas hein ?
-Un peu de coopération de ta part ne serait pas de refus » ..."

Cherche qui tu es d’abord…Blablabla….Tout ça pour dire si peu. Elle ferma les yeux et plongea sous l’eau….Une minute…Deux minutes…Elle ne bougea pas, la surface était lisse, plus aucune bulle d’air ne remontait, si quelqu’un avait été là il croirait qu’elle était en train de se noyer…Mais il n’y avait personne alors…

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MessageSujet: Re: Sous l'effet de la mélancolie {Fubuki Toya}   Sous l'effet de la mélancolie {Fubuki Toya} EmptyMar 30 Nov - 14:58

De cette ventilation pouvait imperceptiblement se déceler quelque chose. Une présence semblait-il… Mais quelle était cette aura glaciale qui se dégageait soudainement dans ce recoin du seireitei ? Mis à part l’énergie spirituelle du célèbre prodige qui officiait en tant que capitaine de la division qu’il squattait, il n’en avait jamais senti de la sorte. Serait-ce le vice-capitaine de ce coin ? Franchement, il n’en savait pas plus, mais ce réiatsu pouvait s’y apparenter. Sensiblement supérieur au sien, il ne pouvait en être autrement. Mais là n’était pas le plus important, pour le moment. Une once de curiosité excessive, avait soudainement poussé ses prunelles, à ratisser le territoire qui s’étendait à perte de vue. Mais encore une fois, il ne vit rien de rien. Une voix l’interpella, tandis qu’il se déconcentra dans ses recherches minutieuses. Les derniers officiers venaient de dépasser la frontière entre la dixième division, et cette plaine là, dans laquelle il se trouvait. Il les accompagna de ses mirettes jaunâtres jusqu’à ce qu’ils soient hors de son champ de vision, loin du l’endroit où il se trouvait. Il fallait aussi qu’il se résigne à partir. En effet, le temps était loin d’être favorable au dessin, bien qu’à l’isolement, mais ce n’était hélas pas sous la pluie qu’il allait prendre le recul dont il avait besoin. La réclusion entres les quatre murs d’une pièce ne l’enchantait guère non plus, mais apparemment, il n’avait nul le choix. Le seul point négatif dans l’histoire demeurait la distance entre ce lieu, et son appartement, ce qui le forcerait à demander asile à quelconque personne de sa division à cause de cette foutue future pluie, et cette personne, le fatiguerait sans aucun doute avec des bavardages inutiles, lui qui n’avait pas tête à échanger ces temps-ci. Le comble pour un fêtard. Il ne se reconnaissait même plus. De ce fait, il haussa les épaules, en se disant bien qu’il ne s’agissait là, que d’une crise de passivité passagère. Jetant un bref regard sur son dessin brouillon et inachevé, il contracta donc son bras gauche, le ramassa, et le rangea dans son sac, histoire qu’il ne s’évade pas sous l’effet du vent devenu assez violent. Le matériel rangé, Kensei prit le temps d’épousseter son shihakusho. Une fois cela fait, il se releva promptement, mais resta cloué sur place, lorsqu’il vit de loin un étang. Là encore n’était pas la question. Il y avait une personne à son rivage. Et ladite personne en réalité, était l’émanatrice de cet étrange réiatsu qu’il avait auparavant capté, phénomène qu’il avait oublié de par son esprit quelques fois frivole, et distrait par les voix qu’il avait entendu…

Rester, ou partir ? Telle était la question phare qui rythmait tout son être. Après tout, une pluie ne lui ferait rien de mal, si ce n’est… aggraver l’énervant petit rhume qu’il avait déjà. Dis comme ça… il y avait de quoi faire grimacer le malabar de la septième division qui se disait que cela valait la peine de rencontrer une nouvelle personne, histoire de se motiver à satisfaire sa curiosité maintenant réelle. Une guerre contre lui-même qui le fit soupirer un tant soit peu, alors qu’il regardait toujours la silhouette lointaine, qui s’avérait malgré tout charismatique à sa façon. Individu qui finit par plonger dans l’étang près de lui. Sous l’effet de la surprise, Kensei haussa un sourcil, et regarda le ciel, en jaugeant un peu le temps qui y découlait. Humph ! Franchement… Fallait être très robuste, et clairement ami-ami avec l’eau pour se permettre des plongées dans un temps pareil. Même pour un entrainement, cela relevait d’une mentalité hors pair. Il avait beau être bon shinigami, mais il n’était prêt à effectuer ça. Et qui plus est, sa peau ne lui permettait pas ce genre de centralisations. Mais au final, peu importait. Se rapprocher du coin n’allait pas poser problème. M’enfin, c’est ce qu’il espérait... Il n’avait réussi à identifier le sexe de la personne vu la distance, mais il aurait parié qu’il s’agirait d’un homme de sa trempe. Pas qu’il sous-estimait les femmes, mais il espérait vraisemblablement cela. De quoi faciliter son approche qui allait s’avérer humble, qualité essentielle quand on voulait se faire une connaissance, ici, au seiretei. Après tout, pourquoi restreindre ses compagnons d’armes à une seule et même division, bataillon auquel on appartenait, pour couronner le tout ? N’ayant eut que quelques véritables amis, dispersés dans l’immensité du camp des shinigamis, Kensei n’avait jamais de contacts avec les soldats autres que ceux de sa division. Cause : Manque de temps, et de volonté. Situation à laquelle, il allait y remédier maintenant, si et seulement si, celui qui l’intéressait serait aimable pour l’accueillir, et accepter sa présence. Et pour le savoir, il n’y avait qu’une seule chose à faire. Partir à la rencontre de cette personnalité.

Quelques shunpos rapides, et en une minute, Kensei se retrouvait clandestinement vers l’eau. Tout comme son capitaine masqué, il avait l’art de camoufler son énergie spirituelle. Rapidement donc, il se fit une place dans l’herbe humide au bord de l’étendue à priori froide, et bizarrement calme. Une minute passa… Une autre… Une autre, et encore une autre… Au début, il commença à s’ennuyer en calant sa tête contre son poing, pensant à un entrainement sous l’eau, mais quand il remarqua la surface non troublée de cette dernière, il écarquilla ses yeux de terreur, et réalisa une chose qui devait depuis belle lurette, lui sembler évidente. Elle ne respira pas, et qui plus est, n’émanait pas son reiatsu. Cette personne était folle ? Les choses ici, étaient bien réelles pour les shinigamis, et pouvaient les tuer. Rester sous l’eau pendant ce temps, sans respirer pouvait conditionner l’asphyxie ? Et si elle était bloquée par quelque chose ou…

• Et merde !!!!!

Bondissant sur ses pieds, l’héritier de la famille noble des Kojima commença à courir en se débarrassant de sa sacoche sur la rive par la même occasion, avant de plonger dans l’eau. Glaciale. Un véritable calvaire pour lui. Ses muscles se contractèrent, et s’engourdissaient déjà. Il fallait faire vite. Plusieurs brasses, quelques regards, une silhouette, bingo ! Tout en progressant dans la direction de la masse, il vit tout au fond, et non sans mal, une femme couchée, et l’air inerte. Il regarda aux alentours, et ne vit aucun autre shinigami… Une femme… L’bol hein… Il était prêt à parier qu’elle allait le traiter de tous les noms une fois en dehors de l’eau. Mais l’indécision n’était pas de mise. Femme ou pas, il n’allait pas la laisser là, surtout que son teint pâle faisait assez peur. Une fois près d’elle, il la souleva délicatement dans ses bras tel, un chevalier charmant. Le tableau était tellement soudain, qu’il se contraint à l’accrocher à un de ses bras, histoire de pouvoir remonter normalement à la surface. Néanmoins, il se devait de serrer son étreinte, histoire de ne pas la faire tomber, ni la secouer trop brutalement. Plusieurs efforts véloces, la lueur de ce ciel quand bien même brumeux, c’était bon. Il ne lui avait fallut que deux petites minutes pour la remonter à la surface. On le voyait quelques secondes plus tard la reporter dans ses bras, la lèvre supérieure mordu, et les cheveux tout humectés d’eaux, complètement collés à son front, ce qui gênaient un peu sa vue, déjà que ses yeux étaient rougis… Il la déposa donc sur la rive, et s’enquit rapidement de son état. L’avait-il réellement sauvé ? Faisait-elle exprès ? Il ne le savait pas et autant dire qu’il s’en fichait, déjà qu’il ne s’attendait pas à une femme. Ses yeux en tant que bon garçon, tombèrent sur sa grosse poitrine presque dévoilée. "Une vielle" se dit-il automatiquement…

Ca ne pouvait même pas tomber sur une jeune de son âge ? Hein ? Une petite cent-soixantaine ? Malchance ! Au point qu’une veine palpitait grossièrement sur une de ses tempes, pendant qu’il s’attelait à la réanimer, en exerçant des pressions sur son ventre de par ses deux paumes…


• Hohéééé… Hohéééé… Grande sœur… ? T’es vivante ? Va falloir pourtant… Faut qu’tu t’relèves… T'as pas le droit de clamser mainant... La quatrième division est vachement loin d’ici… disait-il d'un ton frisant l’inquiétude. Ça promettait...
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