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 Concours RP : Les gagnants

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MessageSujet: Concours RP : Les gagnants   Concours RP : Les gagnants EmptyJeu 21 Oct - 17:30

Septembre 2010 : Matthew West
« Ça Marche – Le Roi Soleil »
« Ça marche ? »

« Bras dessus et bras dessous… ♫ Non, non, non et non ! Ça ne va pas du tout c’t’histoire Messieurs le Principal, j’ai d’autres chats à fouetter le Samedi matin ! »

Dès le premier jour de la rentrée des professeurs, je poussais déjà ma gueulante contre le directeur de l’établissement. On m’avait foutu une classe de 2ème année à 10h le Samedi matin, or à cette heure-là habituellement, j’avais des choses beaucoup plus importante à faire, comme dormir. Bah oui, quand on passe la nuit entière à chasser la gazelle dans les boîtes de nuit, le lendemain à 10h, on dort à point fermé. Ce qui ne fut pas l’avis du chef d’établissement, il me rétorqua par ailleurs de laisser ces jeunes femmes tranquille et de ne pas les comparer à des animaux. Pourtant, ce n’était pas moi qui le disais : « L'homme est un animal, qu'on dit civilisé. ♪ ». Enfin bref, j’acceptai finalement cette fatalité et je me fie à l’idée de laisser ces gentes demoiselles le temps d’un soir. « Et ça tournera comme ça. ♫ » Rhaa, ce qu’elle m’agaçait cette chanson, mais pas moyen de me souvenir d’où elle provenait. « La la la la la la la. ♪ » C’était comme une mélodie qui me taquinait, elle se foutait de moi avec son air à en faire déprimer plus d’un. Justement, ça ne marchait plus pour moi à présent, je rentrais dans une sorte de folie à chaque fois que cet air diabolique résonnait dans ma tête…

Je crus finalement l’oublier quelques jours avant la rentrée des classes. Je profitai alors de mes derniers jours de vacances pour faire la fête en boite. Mais la petite est coriace ! Oh ça oui, elle l’est… A peine oublier qu’elle me revint. Ce soir-là, je croisai un ami qui me demanda si ça allait, naturellement il me sortit : « Ça roule ? ». Ô malheur, ô désespoir. Non ça ne va plus… Sans même réfléchir je lui rétorquai mélodique-ment fort la suite de la chanson : « Sans respect, ni foi, ni loi ! ♫ » Je ressentis un grand moment de solitude, avant de rigoler bêtement pour éviter le plus possible la casse. Honteux, je décidai de me bourrer la gueule pour oublier cette musique de malheur. Mauvaise idée, très mauvaise idée mon vieux ! En effet, j’aurais mieux fait de rester « clean » et de supporter l’insurmontable que de faire ce que je m’apprêtais à faire. Il était à présent très tard ou plutôt très tôt, la dernière musique se termina dans cette boite de nuit qui commençait à se vider. « Hey ! Pourquoi on a arrêté la musique ! » Avais-je crié haut et fort. Je vous dois de préciser que je ne supporte pas bien l’alcool, je ne suis plus le même, je deviens grincheux et violant. Typiquement le contraire de moi-même. « Bon, j’vais vous chanter un truc qui me trotte dans la tête depuis un moment alors. » Je montai sur la table basse la plus proche et je commençais l’horrible show de ma vie…

« Ça marche, Bras dessus et bras dessous, Ça marche, L'un sur l'autre dans la boue, Ça marche, Tant qu'on peut encore debout, Monter les marches… Ça rouleeee… »

Heureusement, le massacre s’arrêta là. Je perdis l’équilibre et tombai sur les fesses. C’était certainement le souvenir le plus ridicule que je n’avais jamais eu, de voir tous ce monde me regarder avec un air amusé…


Octobre 2010 : Yongil Leto
« Convaincre son supérieur du bien-fondé des strings en dentelle. »
Un string…..tout semblait flou autour de lui, sauf ce string en sa main droite. Une chose…humaine, qui n’avait pas sa place en cette étreinte un peu fébrile et pourtant bel et bien présente. C’est d’un mouvement leste et rapide qu’il rangea cet objet si insolite en sa poche, alors que son supérieure se profilait à l’horizon dans une démarche mesurée et parfaite. Le regard avisé de ce dernier retint ce petit bout de dentelle si coquin et si peut… dans les normes de l’uniforme. Ses iris s’intensifièrent sur son subordonné, avant d’usé d’une gestuelle habile pour lui subtilisé l’objet de son attention pour le présenter sous le nez de l’incrédule…

- qu’est ce que….ceci ?

Fit cette voix atone qui avait le don présentement de faire accélérer le pouls en son sein, alors que son souffle se faisait un peu plus court. Un petit frisson de mal être se glissa en son dos, mais cependant réprimer par sa raison. Il n’était pas du genre impressionnable, et surtout, il ne paraissait point concevable de ne point fournir d’explication en restant aussi muet qu’une carpe. Sa gorge lui apparut douloureusement sèche alors qu’il offrit un visage des plus impassible, cachant derrière son regard insondable ses craintes les plus justifiées quand au devant de cette situation presque surnaturelle.

- Ceci est un string, Taisho.

Bon début des choses…analyse fort concise, mais juste. Mais quelque chose lui disait que ce n’était guère suffisant comme argument envers son supérieur qui risquait fort en cette seconde de le prendre pour un jeune sot qui cherchait à se payer sa tête. Malgré tout, cette fraction de temps aussi subtile soit-elle, était comme une bouffé d’air pour permettre à son esprit de démontrer une tout autre chose sur cet objet si étrange et coquin, qui risquait de le mener à sa perte.

- Taisho, en vérité c’est un présent que je songeais offrir à une parente. Cela semble sûrement vous étonnez et j’en conviens, cependant c’est là un cadeau de toute dernière facture. Regardez le bien. C’est fait dans un tissu le plus prisé qui soit, et je ne parle pas du plaisir indéniable qu’il puisse apporter à toute personne qui le porte. Enfin c’est du moins ce qu’une certaine assemblée m’a rapporté, alors que je remplaçais votre Fukutaisho, qui était censé remplacer une autre personne de votre connaissance.

Et là, c’était à ce demander s’il n’avait as aperçut un éclair des plus lugubres en ce regard braqué sur lui, qui pourtant l’invitait à continuer, alors qu’il ne se séparait toujours pas de cet air impassible et doux.

- En d’autre terme c’est devenu le présent idéal pour la gente féminine, surtout lorsqu’on cherche à se rapprocher ne serait ce qu’amicalement et dans le fond je puis vous le laisser si vous le désirez.

- Je le souhaite en effet..

Lui rétorqua son supérieur avant de passer an devant de lui sans plus un regard…délaissant une impression de froideur, alors que son subordonné voila à peine son regard de ses paupières et disparut dans les bureaux…..Quand à notre Taisho et bien….il garda précieusement le string en sa poche, conquis sur le fait de faire plaisir à une personne sur qu’il il veillait depuis maintenant bons nombres d’années, et peu être rapetissé se gouffre de silence…


Novembre 2010 : Rui Habashira
« Il faut toujours terminer ce que l'on co... »
Je vais aujourd’hui vous conter une petite histoire. Elle ne sera pas longue et je l’ai bien révisé. Après la lecture veillez à bien l’oublier et la détruire, corbeille et poubelle seront vos amies. Merci de prendre quelques secondes pour le digérer avant de vous baigner. J’espère aussi que vous ne prendrez pas tout cela au sérieux. A moins que vous êtes du genre ” pas finit.”

Ancienne France, année 48 de l’ère de la viande crue.
Tout commençais dans une petite ville d’un pays dont personne n’a retenu le nom. Il y vivait un petit steak haché bien malheureux d’être le seul sur terre doué de conscience. Il vivait dans l’ombre des grands rumsteak, et autres filet mignon. Il avait été abandonné à la naissance par ses parents. Pauvre, pauvre petit steak haché. Il décida, devenu grand, d’écrire un formidable livre pour raconter son histoire. Mais les immeubles d’édition le refusèrent. Le jeune steak haché retourna se morfondre sur son sort se disant qu’il était vraiment le plus raté de tous. Jusqu’au jour où, par une froide journée d’hiver, il rencontra un bel et grand faux filet qui lui tendit une main chaleureuse et l’ accueillit chez lui. Il avait lut son livre et l’avait apprécié et depuis deux ans avait tout fait pour retrouver notre pauvre petit steak haché qui désormais menait la belle vie. Le livre se vendu à plusieurs millier d’exemplaire, traduit dans une vingtaine de langue, langue de bœuf, langue de porc, langue de veau et j’en passe. Le produit dérivé se vendirent comme des petit pain et ses droit d’auteur lui rapporta assez d’argent pour vivre sans rien faire pendant plus de cinquante ans. Mais, la belle vie de dura pas et, un jour bien sombre, quelqu’un frappa à la porte...

Malheureusement, je ne me souviens plus de la suite. Je crois que cette personne était le frère jumeau du steak haché, ou un sosie. A moins que se soit la police qui l’accuse de plagier un auteur pied de bœuf de renom. Non, je me souviens de l’histoire originel, je l’ai inventé après tout.

C’est sa grand mère, qui est venu lui apporter des biscottes et un petit pot de beurre. Mais je crois qu’elle était très jeune pour une mamie. Oui très jeune. Dans les vingt ans. Donc, cette jeune femme vint frapper à la porte de son petit fils pour lui apporter du miel. Prétendant que le nectar d’abeille est très bon pour l’imagination. Le petit steak haché l’ignora parti dans le pays de l’orgueil et lui claqua la porte au nez. Le vieille jeune femme, disparut dans les escaliers de l’immeuble. Et....

Je crois n’avoir jamais finit cette histoire. Je me souviens simplement que la moral était un truc comme : “met tes chaussettes en hiver et ton slip en été” ou “pas de bras pas de chocolat”. Mais je me demande pourquoi je ne l’ai pas finit. Déjà qu’à l’enfance on me répétais tout le temps “l’est pas bien finit suis la”. Je crois que j’ai gardé se réflexe. Un dernier mot, les steak hachés gouvernerons le monde.


Décembre 2010 : Kozuki Tsukane
« Bawdy Festival – Freakside »
Tourne, tourne, tourne sur toi-même, tes lames fièrement dressées en une danse mortelle et sanglante. Tourne, tourne, tourner encore, le monde devient flou sous tes yeux affamés de cette violence tant aimée. Tournis de l'adrénaline, extase des sens en plongeant les lames au plus profond de la chair, l'envie de tordre et fouiller les muscles, toujours plus de sang, tu en veux encore et encore. Dans ta tête, ça résonne comme une petite musique entraînante, mortellement entraînante, des murmures à tes oreilles t'amenant vers cette folie meurtrière que tu chérie tant. Coupe, tranche, perfore, le sang qui gicle, chaud et vermillon, dans ta bouche avide, liquide que tu avales, un sourire sur les lèvres. Tes yeux ne sont plus ''normaux'' si tant est qu'ils l'aient réellement été un jour, regard flou, distinguant seulement l'éclat métallique de tes lames.

Le cœur qui bat à tout rompre, la chaleur dans tes membres, dans ton ventre qui fourmille du plaisir de donner la mort. C'est tellement bon, tellement prenant, ton cerveau s'embrume dans les méandres de cette jouissance sanglante. Ton cavalier lui, ploie sous les plaies, costume Bloody Red tellement plus seyant qu'un banal costard, ça dégouline et te donne envie de lécher blessure après blessure, les torturer un peu plus, les ouvrir profondément et laper l'élixir qui s'en échappe. Le goût du fer sur la langue, la saveur de l'argent, c'est chaud et ça coule au fond de ta gorge. Tellement bon, tellement...savoureux...Encore et encore tu tournes autour de ta proie, il est à terre déjà. Rien ne peut plus le protéger, tu as gagné, quelques estafilades et il finira par se vider de son sang là, sur le pavé, dans cette nuit que seul ton astre éclaire. Rouge sous argent, rouge sur argent, rouge sur blanc....Le noir n'est pas de mise non...Tu n'y tiens plus, il le faut contre toi, au plus près, c'est nécessaire, impérieux, vital. Le noir coule sur tes membres, rejoignant le sol pour baigner dans cette mer que tu rêves d'aspirer, et tu te coules tout contre lui, peau contre peau, son sang maquillant ta peau de divines arabesques, tu caresses son torse de tes ongles mortels, toujours plus, encore, il en faut encore plus. Ta langue court, le torse, les mamelons, le cou, les joues et les lobes des oreilles, tellement bon, tellement suave, alors que tes mains immobilisent ses poignets.

Ne bouge pas, petite souris, tu n'en mourrais que plus vite...Oui, profite de l'endorphine et de l'adrénaline que ton cœur envoie à un rythme effréné dans tous tes muscles scarifiés par mes soins. Tu vas aimer, je te le garantis...tu vas prendre ton pied à en crever.

Tes dents blanches tachées de sang se dévoilent dans un sourire sadique, tes lèvres sont maquillées comme celles d'une reine de bal de promo et pourtant tu ressembles plus à Carrie qu'à une de ces midinettes. Tu sens sa peau, ton nez effleurant la surface suintant la peur, mais il ne bouge plus. Plus bas, tu descend toujours plus bas, te coulant tout contre lui, tes jambes glissants sur les siennes, Nombril, petit puits rougeoyant où tu t'abreuves avec délice, avant que ta langue ne contourne lentement des parties plus dures, érigées sous le coup de l'adrénaline et de l'excitation. Tu as toujours fait ça avec eux. Cruelle et douce, sanglante et câline, tes mains passent sur ses cuisses, ouvrant toujours plus de profondes entailles, et tu récupères le sang pour le porter à ta bouche, léchant tes doigts en plongeant ton regard dans le sien. Tu lèches encore et encore, là aussi quelques gouttes perles, sous des caresses plus délicates, mêlant le blanc et le rouge. D'un mouvement, tu plonges tes lames dans l'artère fémorale, le flot de sang inonde ton visage alors que lui se libère dans un râle d'agonie. Mort en plein plaisir, on peut pas rêver mieux. Tu prends bien soin de nettoyer tout ce sang, il est tien, il est rien que pour toi, alors que le corps refroidit déjà.

Dans la nuit s'éloigne une silhouette, frêle et nue, s'éloignant d'une scène en monochromie de rouge. Une dernière lueur, le lampadaire esseulé éclaire tes cheveux, rivière à l'image de ton repas sanglant.


Dernière édition par Papillon Messager le Lun 21 Fév - 21:33, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Concours RP : Les gagnants   Concours RP : Les gagnants EmptyLun 31 Jan - 21:50

Janvier 2011 : Kaoremas Ethohaseth
« Nsync – That's when I'll stop loving you »
Je t’aime …

C’est par ces simples mots, que je peux dire ce que je ressens pour toi …

Cela fait des moins que je te vois, et durant cette saison d’hiver, j’ai vu ton magnifique visage qui m’a réchauffé le cœur. Je ne peux m’empêcher de le revoir dans ma tête, et de me rappeler ses délicates courbes, ainsi que cette peau si douce.

Les moments passés loin de toi, sont une véritable torture pour mon âme, qui ne cesse de trouver un réconfort que seul toi, réussi à me procurer. Ta voix si relaxante, m’apaise, je me sens en paix avec toi, comme transporté dans un monde de douceur, qui serait proche du paradis.

Toi, dont le nom est aussi beau qu’un lâcher de colombes, dans l’azur d’un ciel libre de tout nuages menaçants. Ton nom est désormais gravé dans mon cœur, comme de l’écriture sur une roche, pour que dans l’éternité, je puisse à jamais me rappeler de toi, comme la personne qui a changé ma vie, et qui m’a permis de connaître la quiétude.

Quand tu n’es pas la, je me sens comme seul, perdu dans un tempête, qui m’isole du monde, et dont le froid me ronge la peau et l’âme, pour cause de solitude.

Quand tu es à coté de moi, le contact de ta peau douce sur la mienne, m’électrifie, me procure des sensations que toi seul peut me procurer, sans même que tu le sache.

Avec toi, je pourrai voler dans le ciel, avec ces êtres si proche de toi, que l’on appelle des anges. Car oui, ta douceur et ta gentillesse font de toi quelqu’un avec qui je veux passer ma vie, car je ne peux m’empêcher de penser à toi tout le temps.

Une vie sans toi, serai tel un radeau dérivant sur un océan de solitude, et le seul bruit des vagues, me rappellerai sans cesse, que tu as été la lumière qui m’a guidé dans la vie, et surtout qui m’a permis de venir accoster sur le bateau de l’amour, qui m’a ramené à bon port.

Si tu n’étais pas la, je ne sais pas comment j’aurai fait, pour venir à bout de cette nuit de ténèbres, dont mon esprit était pris avec. Tu m’as permis de m’en sortir, et de me libérer de mes démons.

Même si mon cœur s’arrêtait de battre, mon âme sera à tes cotés, pour poursuivre ces moments merveilleux que je passe avec toi, et pour que même dans l’adversité, je puisse voir ton visage doux et angélique.

Sèche tes larmes, je suis à coté de toi pour toujours. Jamais plus tu n’auras mal, et plus jamais tu pleureras pour un amour perdu. Je ne suis peut être pas le meilleur parti, mais mes sentiments pour toi sont réels et véritables, et ceci me suffit pour te dire tout ça.

Je t’aime …

C’est par ces simples mots, que je peux dire ce que je ressens pour toi …


Février 2011 : Kozuki Tsukane
« Complètement saoul, fais la conversation à une assiette »
Une fois n'était pas coutume, j'étais bieeeeeeeeen ! Bien déchirée certes oui, mais dieu que ça faisait du bien ! Jme souviens pas de grand chose à part avoir eu un mal fou à avancer un peu près droit, plusieurs escales en glissant contre les murs. Mais c'était des copains eux, ils m'aident à tenir un peu près droit, même s'ils sont pas super causant. Pourquoi la division était aussi loin...Et là franchement, un coup de shunpo c'est dangereux, un coup à se retrouver à patauger dans le bassin des carpes de l'autre coincé du derche et ça c'était paaaaaaaaaaaas bien ! Bon c'est pas tout ça les copains, mais il faut que je continue sinon le taisho il va me taper sur les doigts, et ça doit faire très mal avec lui. Comme autre chose d'ailleurs mais je veux pas savoir ! Vu la taille de ses mains...Raaaaah stop !!!!!!! Ferme-la cerveau de mes deux ! Ouai j'en ai pas et alors ? Je t'emmerde moi ! Bon allez, encore deux pas, une pause contre le mur là, re deux pas et hop on rentre dodo. Pouah c'est long , surtout quand la route elle bouge comme ça. Tiens jvais aller voir si ya pas une cruche qui traine dans la salle commune, une avec une tronche effeminée....nan pas cette cruche là, l'autre, celle où ya le liquide qui fait rouiller. Tiens je suis pas seule....Face toute plate, blanc comme un cul , pas de nez et vachement rondouillard pour un de chez nous...

-Yo t'es qui toi je t'ai jamais vu dans le coin...
- …
-Ouai ouai t'as raison fais genre tu m'entends pas
- …
-Nan mais allez vas-y parle ! Je suis gentille moi, je te dénoncerais pas !
-...
-'Tain t'es vraiment pas cool, en plus t'es moche !
-...
-Quelle répartie ! Nan mais sans rire, t'es muet ou quoi ? Mec je suis ton supérieur, tu dois répondre quand je te pose une question
-...
-Me réponds pas sur ce ton !
-...
-Mais c'est que t'es un ptit marrant toi ! Puisque c'est comme ça, jme barre !

Tournant le dos à ce type, je choppais la cruche et la soulevais pour boire une grande rasade d'eau...J'ai loupé ma bouche, je me suis littéralement douchée mais au moins ça réveille. Bizarre que l'autre soit pas en train de se foutre de ma tronche, donc jme suis retournée pour lui jeter un regard de la mort qui tue et...je me suis cassé la tronche par terre, foutu hakama qui vient se mettre dans mes pieds quand il faut pas ! Ah j'ai cassé les assiettes, jvais me faire tuer ! Ah, face plate aussi est cassé...Merde j'ai parlé avec une assiette....


Mars 2011 : Yuuki Terumi
« Ce que j’ai subi a fait de moi ce que je suis. » (V pour Vendetta)
Faut croire que j'étais destiné à devenir une petite raclure vu tout ce que je me suis mangé durant ma longue et non moins mouvementée existence. Comme quoi un pet au casque permanent n'a pas que des origines physiologiques, le connerie du reste du monde y est pour beaucoup d'ailleurs. Tout commença lors dès ma sortie des limbes, à moitié torché et encore marqué par le traumatisme de la mort puis du passage dans le monde spirituel. Premier pas, première couille. Direct un piaf me chia dessus, sans crier gare ni rien. Classe l'ami, si j'avais pu je l'aurais cuisiné à l'orange le sale petit! Viens donc là que je mette la farce à la main de le séant dégénéré couvert de plume! Mais bon, je m'emporte. Donc j'étais là, perdu et seul comme...ben comme un gland tout simplement. Faut pas chercher plus loin que ça. J'ai vécu pas mal comme un clodo durant cette période, à voler un quignon de pain ça et là pour survivre en essayant d'éviter les foudres des commerçants désirant me mettre la branlée de ma vie et me faire bouffer mes boules au passage. Tout le monde semblait s'être donné le mot pour me pourrir la tronche car même les gamins de mon âge ne pouvaient pas me voir en pâture. La couleur de cheveux sans doute, les mecs teinté ou ayant l'air de l'être ça passe toujours mal auprès du pécore lambda. On m'avait pas mal caillassé durant cte période, au moins j'ai pas gardé l'accent de ce pauvre troupeau de péquenots inférieurs pas capable de savoir s'il fallait utiliser une dérivée ou une intégrale pour calculer l'aire sous une courbe. Je sais, c'est con comme réflexion mais c'est le genre de détail qui importe pour moi.

J'étais un peu comme Spoke bloqué sur une planète médiévale et cherchant un moyen pour se barrer de cette merde, les oreilles pointues et la coupe au bol en moins. Et un jour j'ai pu prendre mon envol, enfin. Fallait croire que j'avais une tête à claque combiné à la guigne la plus tenace du monde car même ici ce fut l'enfer. Moi qui pensais me trouver parmi mes pairs et avoir affaire à des gars avec plus de deux neurones je me retrouvais dans la promo la plus pleine de déchets, de dégénérés, de fouteurs de merdes et de pauvres bourrins Néandertaliens depuis un bon siècle déjà. Autant dire que le mec un minimum cultivé, seul et avec un physique sortant de la norme était un proie de premier choix pour ces créatures stupides et ridicules. Bam! Pruneaux sur pruneaux j'encaissais tant bien que mal en attendant que ça se passe, surtout durant les exercices pratiques et autres duels où se pavanaient les plus musclés et cruels d'entre eux avec moi en bouc émissaire/Punching ball de prédilection. J'aurais pu passer pour une pub d'Orangina tellement j'étais secoué dans tous les sens, forcément avec un tel traitement ma pulpe ne restait jamais en bas très longtemps. Puis, j'ai commencé à substituer l'orange sanguine au classique mélange conventionnel couleur jaune pisse comme celle recouvrant l'entrejambe des mecs que je croise sur mon chemin de nos jours. Je commençait à répondre aux provocations de plus en plus violemment, puis je me suis rendu compte qu'il y avait beaucoup plus intelligent et malin à faire que simplement leur péter la rondelle avec ce que je savais faire le mieux, la Chimie. Ben oui, j'étais doué pour les sciences et quand on a un minimum de jugeote, de créativité et de dons pour la furtivement rien de plus aisé que de créer un mélange pouvant vous retourner l'estomac. Un véritable cocktail de flatulences et autre diarrhées odorantes arrivant pile au bon moment, c'est à dire pendant un exercice pratique bien entendu. Et un petit coup dans le ventre pour l'apothéose, ça fait du bien par où ça passe pour le donneur et ça aide l'autre affreux d'en face à relâcher la pression. Pathétique et hilarant à la fois, l'amour propre ainsi que le slip de la victime ne s'en relevèrent jamais. Avec ça au moins il ne fit plus chié de toute sa vie, par contre pour ce qui était de ses camarades...Ils se retournèrent tous contre lui pour l'enfoncer encore plus dans fosse septique où il résidait désormais. S'il est passé Shinigami après sa grossesse nerveuse, j'imagine qu'on doit encore le pourrir avec ça de nos jours. Ça où il a changé de visage s'il à réussi à éviter le Hara Kiri. Amusante journée soit dit en passant, certes j'ai fait bien pire depuis mais pour une entrée en matière c'était pas si mal que ça surtout que là je débutais encore. Ce qui était encore plus intéressant c'était de constater que mon arrivée dans ce monde ainsi que ma renaissance du côté obscure, d'ailleurs je cherche toujours le cookie qu'on m'avait promis à l'entrée, furent toutes les deux placées sous le signe de la poésie et des déjection animale ou humaines liquéfiées. On a la classe ou on ne l'a pas.
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MessageSujet: Re: Concours RP : Les gagnants   Concours RP : Les gagnants EmptyLun 2 Mai - 19:17

Avril 2011 : Yongil Leto
« Peter Pan – A la file indienne»
Une énième fumée blanche s’évapora dans les airs et une secousse vint s’offrir à son épaule. L’homme haussa un sourcil et se tourna pour voir un blondinet à l’air timide d’ordinaire, mais totalement relâché en cet instant même, l’invitant à rejoindre le groupe. Etrangement, il ne se fit point prier alors que ses pas lui paraissaient totalement absent.. Comment se déplaçait-il en fait ?... Question saugrenue mais un peu essentiel non ? Alors qu’un type bien plus grand que lui et à la longue chevelure rouge se mit à claironner de se mettre en file indienne. Un peu hésitant notre protagoniste fit une légère moue désabusé, une chose si rarement vu en sa personne, alors qu’un brun tatoué lui fit une bourrade avant de le placer derrière la file.. De quoi faire la chenille qui redémarre ??... un truc qu’il avait aperçut une fois dans une vitrine dans un tout autre monde que le sien… ou alors ce truc qui transportait les humains là…..un tchoutchou…uhmm..non…ce n’était pas le mot exacte…enfin peu importe. De toute façon…ce qui l’intriguait le plus c’est de voir son ancien subordonné chanter de manière fausse d’ailleurs quelque chose comme Ti DI A Ti Dou Li Dou Ti Dé …..mais cela ne veut rien dire cette chose là ?!...et le pire c’est qu’en passant devant miss grosse poitrine….Kami…que venait il de penser là ??...Ce n’était mais alors pas du tout dans les convenances et son genre.

Il secoua la tête et mal lui en prit car il crut voir passer une sort de lapin bleu avec des barrettes blanche qui lui disait

« Chantons en choeuureuhhhh cettte chansonnn qui nous plaitttt… »

Et la file continuait d’avancer, et notre homme bloqua à nouveau en son esprit qui d’ordinaire était si rationnel, en apercevant un monsieur barbu et chauve qui lui …disait fortement quelque chose avec son bâton là… Ce dernier fronçait des sourcils avant de piquer le chapeau d’un type mal rasé et picoleur pour se le mettre sur le crâne. Sans doute pour se voiler la face devant un tel relâchement. Cela fait..le dit picoleur avait opter pour se couvrir d’un parapluie …..qu’est ce que cela venait faire là au juste ?.... Mais la route continuait… a la file indienne…. Encore et toujours et en chanson.. c’était si prenant qu’à la fin, notre brun se mit à vociférer le refrain, la chose la plus incompréhensible de cette chanson, mais aussi le seul truc qu’il avait imprimé.

« TI Dum, Ti Di, A Ti Dou Li Dou Ti Dé »

Et là, une voix bizarrement proche et familière résonna..comme en dehors de la scène.

« Comment tu dis ?...... »

- J’ai dit TI Dum, Ti Di, A Ti Dou Li Dou Ti Dé !!

Fit il en fronçant des sourcils et levant le poing, alors qu’on le secouait comme un prunier…Pour finir tout s’évanouissait autour de lui ..avant de reconnaitre.. Un bureau sur lequel il s’était assoupit, un supérieur debout et inquiet qui le tenait par l’épaule. Il se redressa lentement avant d’entrevoir cette fumée qui s’échappait d’une cigarette à la saveur étrange…Cela allait lui valoir.. un jour de congé ?


Mai 2011 : Hitori
Si jamais la fin du monde arrivait, que faire ? Si la grêle gros comme des œufs d’autruche tombait pendant des jours et des jours. Si chaque animal passait carnivore, bouffant les passants, imaginez une bande de pigeon picorant vos entrailles en vous chiant dessus par la même occasion, quelle mort atroce ? Est-ce pire que de mourir écarteler par un tracteur en panne poussé par une bande de nains capables ? Et si la fin du monde venait d’une météorite venant flirter avec notre bonne vieille Terre, on resterait probablement sur notre faim. Si à la place d’une météorite on mettait des poules empoisonnées, serait-ce différent ? Une autre fin ? Que dire de mourir d’épilepsie graduelle, évoluant au fil des pas que l’on fait ? Mourir d’un rhume des foins ou en se cassant la tête dans une cage d’escalier, descendant plus vite que l’ascenseur. Mourir de rire, ou d’une infection oculaire suite à des larmes de crocodile. Mais mourir c’est fort peu enviable, mourir c’est pas terrible. Mourir c’est la fin de tout et on dit merci parfois, pourtant … On redoute la mort, au moins une fois dans sa vie. Comment éviter ça ? Adopter le string panthère.
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