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MessageSujet: Machine : Mode d'emploi   Machine : Mode d'emploi EmptyMar 7 Sep - 6:34

    C’était le petit matin dans ce monde aussi remplit d’étrangeté que de débile profond. Sortant donc de mon fidèle placard, j’étais seule (enfin presque le paysan était insignifiant). Autant dire que cette journée commencer bien. Le père de poil de carotte étant au travail et ses petites sœurs à l’école, j’avais donc la journée pour découvrir encore de multiples choses. Restant en pyjama assez court, je descendis rapidement jusqu’au rez-de-chaussée, allant dans la cuisine. Il fallait dire que c’était LA pièce qui titiller le plus ma grande curiosité pour ce monde. En effet il y avait de nombreuses machines dont je ne connaissais pas encore l’utilisation.

    Observant donc la pièce avec grand intérêt, mes yeux se posèrent alors sur un étrange cube de couleur blanche. Possédant plusieurs boutons et une fenêtre pour voir l’intérieur. Même les fenêtres ici étaient bizarres ! Ouvrant donc cette chose, je pus voir qu’à l’intérieur était poser une sorte de plateau rond. J’en déduisis donc que c’était encore une machine pour cuire des aliments. Pourquoi était-ce si compliquer ici ? Au Sereitei un feu suffisait largement ! Je voulais donc essayer cet objet. Quoi ? N’ayant plus de pouvoir à cause de cette grande courge je devais jouer l’humaine à mes heures perdues ! Ouvrant donc une armoire à l’aide d’une chaise (si vous faites un seul commentaire sur ma taille, vous aurez mon poing dans la figure), je pris n’importe quel paquet que j’avais sous la main. Ca aussi c’était bizarre et surtout très inutile ! Tout ce qui ce manger sur Terre était emballer par des choses que les vivants appelés « paquet » ou encore « plastique ». Même les boissons étaient dans ses drôles de « briquette ». Tellement difficile à ouvrir que c’était Ichigo la fraise qui me les ouvrait.

    Bref. Lisant rapidement ce sachet, il était marquer en petit et noir « Paquet en aluminium, ne le mettez pas dans le micro-onde ». Même leur langage était difficile à cette époque ! J’en soupirais, j’étais plutôt bonne actrice au lycée mais c’était fatiguant de jouer une vraie humaine. Qu’est-ce que c’était aluminium déjà ? C’était la nourriture qu’on mangeait dans ce paquet ? Et micro-onde ? Jamais entendu parler. Bref. Je collais le tout dans la machine sans réfléchir, fermant la petite fenêtre en la claquant rapidement. Mon estomac criait famine, lui s’était réveiller. Mais le problème qui se poser alors, était comment allumer ce machin ? J’appuyais sur tous les boutons peut-être ? C’était assez tentant. La simplicité n’était pas de rigueur dans ce monde ma parole !

    Appuyant donc sur quelques boutons (que ceux de couleurs) la machine se mit en marche. Une lumière apparut alors à l’intérieur, et le paquet commença à tourner sur lui-même. Regardant ce phénomène si étrange pour moi avec grand intérêt, quelque chose d’étrange ce passa. Inclinant alors un peu la tête car c’était … fort intriguant ce que je voyais. Des étincelles apparurent. Cette machine créait des étincelles ! Je venais de comprendre ! Cette machine faisait cuir les aliments avec des étincelles, ce qui était plus rapide que le feu. Voilà pourquoi les humains en avaient dans leur maison. Peut-être était-ce très débile comme déduction mais je n’avais pas d’autres explications …

    Laissant donc cuir la chose que j’avais mis dans la machine j’ouvris « le frigo » comme l’appelait Ichigo. Attrapant alors une très grosse briquette où il était marqué « orange » (ça me faisais pensée aux cheveux de ce crétin), j’essayais d’ouvrir cette chose …


Dernière édition par Kuchiki Rukia le Jeu 9 Sep - 15:04, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Machine : Mode d'emploi   Machine : Mode d'emploi EmptyMar 7 Sep - 9:39

- NON ! Pas les moustaches de baron !

Voilà les premiers mots qui sortirent de ma bouche alors que je me réveillais en sursaut suite à un atroce cauchemar. Ainsi redressé dans mon lit, les yeux encore collés, je regardais mon réveil avec une flemme non-négligeable. Deux heures du matin... super ! J'allais encore pouvoir dormir avant d'aller en cours. Me recouchant en laissant un "Dodo" émaner de ma bouche, je mis quelques instants avant de réaliser que quelque chose clochait. Depuis quand faisait-il jour à deux heure du matin ? Me relevant encore plus précipitamment et violemment que la première fois, je pris mon réveil dans mes mains avec angoisse. Quelqu'un avait traficoté l'appareil au point de le faire retarder de neuf heures si j'en croyais ma montre ! Qui était l'auteur de ce tour de cochon ? Qui était l'attardé de service qui aurait pu me faire une chose pareille ? Cette question ne tarda pas à trouver rapidement une réponse. La seule personne qui se chargeait de faire de ma vie un enfer, de détraquer tout ce qu'elle trouvait, d'agir de manière totalement irréfléchie ! C'était bien sûr cet espèce de lutin aux cheveux noirs qui avait décidé de squatter mon placard ! Le nom de Rukia retentit dans toute la maison au point d'en faire vibrer les murs avant que je ne me décide à ouvrir son placard... que dis-je, MON placard, pour donner une bonne leçon à cette sale gosse. Bien sûr, la tanière du monstre était vide. Sans doute cette abominable créature était-elle partie en quête d'une proie innocente à dévorer !

Descendant en trombe les escaliers, quatre par quatre, en manquant de me casser la figure, je l'aperçus enfin. Elle était là, dans la cuisine, sans doute en train de me mettre une fois de plus un bordel pas possible. M'avançant vers elle avec la rage qui animerait une belle-mère teigneuse, je fus brusquement stoppé dans mon élan en entendant le micro-onde sonner comme quoi ce qui était dedans était cuit. Tournant juste mon regard vers la machine, je n'eus pas le temps de comprendre ce qui m'arrivait que le tout explosa, libérant de la semoule dans toute la pièce, mais surtout sur tout mon visage. Qu'est-ce que je vous disais... une détraquée ! Une folle ! Une sauvage ! Un monstre qui n'attend que l'occasion de vous piéger pour consumer le peu de raison qu'il vous reste après l'avoir côtoyé ! Ce nain de jardin (certes mignon) n'était rien d'autre qu'une arme anti-personnelle, un démon venu de l'enfer pour me punir des méfaits commis dans une de mes vies antérieures. Quoi qu'étant donné tout l'entrain qu'elle mettait à la tâche, j'aurais plutôt pensé qu'elle me punissait pour l'ensemble de mes méfaits sur la totalité de mes vies antérieures. A moitié brûlé, couvert de semoule, observant le micro-onde qui ressemblait davantage à un chou-fleur, je sentais le peu de patience me restant s'évaporer comme la neige au soleil.


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Je ne suis pas sûr de pouvoir refaire un jour le cri qui sorti de ma bouche à cet instant. Un espèce de "Gyaaaa !" monumental mêlant la douleur d'être brûlé par de la semoule à la rage d'avoir la cause de ce désagrément face à soi. M'approchant du Schtroumpf Catastrophe pas à pas, avec un air furibond non-dissimulé, je pris d'un geste vif et net sa brique de jus d'orange pour finalement la vider d'un seul coup, avant de la reposer brusquement sur la table pour bien faire comprendre la nature de cet acte, à savoir la vengeance ! Ayant trop de manière pour lever la main sur une femme, j'avouais que la tentation était cependant excessivement grande et présente en cet instant. Pointant du doigt le micro-onde en prenant une profonde inspiration, sans prendre le temps de me nettoyer le visage tellement la rage était grande, je finis par hurler sur le Minimoys le plus énervant que cette terre ait jamais porté !

- Tu peux m'expliquer un peu c'est quoi tout ça ! Tu veux faire exploser toute la maison ou quoi ?!!!
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MessageSujet: Re: Machine : Mode d'emploi   Machine : Mode d'emploi EmptyMar 7 Sep - 10:46

    Essayant toujours d’ouvrir cette grosse « briquette » de jus d’orange, le silence était roi hormis le fait du bruit étrange que faisait toujours le cube blanc. Cherchant le petit bâtonnet que l’on appelait « paille », j’entendis alors raisonner mon nom dans toute la maison. Les murs en tremblèrent tellement il y avait mit son énergie. C’était connus, les imbéciles ne tombaient jamais malades et étaient toujours plein de vivacités. Soupirant je savais qui était l’auteur de ce cri bestial. Espèce de sauvage ! Il n’y avait qu’un seul débile pour hurler ainsi dès le matin. Cette grande courge … Fraise ? Aux cheveux orange mal coiffé. Un paysan sans la moindre éducation, gros bourrin et de surcroit sans cervelle. Et qui était désormais mon « pion » celui qui me remplaçait en tant que « Shinigami Remplaçant ». Oui car ce crétin m’avait prit tout mes pouvoirs sans mesuré son acte. J’ai nommé Kurosaki Ichigo, débile profond irrécupérable.

    Faisant alors tombé ma briquette au sol étant un peu pris de court à cause de son hurlement, il arriva à pas de course en face de moi tel un éléphant enragé n’ayant pas eût son morceau de canne à sucre. Je n’eus le temps de me lever qu’un gros « PAF ! » surgit de nulle part. Me redressant alors, je vis une grande carotte parsemé un peu partout de semoule. Il fallait bien l’avouer je voulus rire, il me faisait pensée à ce plat oriental qu’il m’avait offert un jour à l’occasion d’un devoir en classe avec des « x » et « y » partout. Comment s’appelait ce plat déjà ? Couscous ? Mais ce ne fût pas le cas au lieu de rire je tirais la tronche, car ce sale malfrat me prit ma briquette et ne se gêna guère pour la boire tout entière. A cet instant je vis rouge. La moutarde me monta vite au nez comme d’habitude avec lui! La briquette sur laquelle j’avais mis temps de patience pour ouvrir … C’en était de trop, j’allais le dresser moi ce paysan à deux sous ! Sautant alors sur lui, je lui fis une prise.

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    Étant donc assise sur lui, c'était notre quotidien de nous disputés tous les deux … et que je le frappe aussi. Quoi ? Ce n’est pas ma faute ça part toujours tout seul ! Mais delà à dire que je le détestais, était un très gros mensonge. En effet, je dicte à longueur de journée ses défauts mais ce crétin a aussi des qualités. Courageux, aimant sa famille, … Euhm, je ne vais pas non plus faire l’éloge de ce paysan roux, il ne faut pas rêver non plus ! Je l’aime bien mais ça je ne le dirais jamais, plutôt mourir. Bref. Gardant ma position pour qu’il souffre un peu d’avoir osé boire mon jus de fruit, je me vengeais également !

    - "Quoi ?! C'est toi qui dis ça alors que tu as faillis casser les escaliers, crétin !! Si tu n'avais pas fais peur au cube blanc il ne t'aurais pas cracher dessus ! C'est mal élevé de hurler, mais non bien évidemment, les paysans ne connaissent pas les bonnes manières ! Et le bonjour il est passer où ?!"

    Je mis rapidement fin à nos chamailleries avec un coup de coude bien placé sur son crâne. Me relevant donc j’en profitais aussi pour lui mettre mon pied aux fesses, c’était un bonus pour toutes les fois où il me l’avait fait. Contrainte de chercher autre chose dans le frigo, je ne fis pas attention mais je vins lui marcher dessus. Sans le faire exprès bien évidemment ...
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MessageSujet: Re: Machine : Mode d'emploi   Machine : Mode d'emploi EmptyDim 12 Sep - 12:50

Dévisageant ce démolisseur encore plus efficace qu'un Terminator, je ricanais de voir sa tête énervée lorsqu'elle me vit vider son jus d'orange. Vengeance, ô douce vengeance ! Sauf qu'en réalité, je n'avais pas prévu qu'elle serait aussi violente que Rambo dans sa manière de contre-attaquer. Ni une ni deux, je me retrouvais à terre avec le lutin sur le dos sur le point de me casser un bras. J'aurais l'air fin avec une telle blessure. Et je ne parle même pas du fait de manier mon Zanpakutô plutôt imposant avec une seule main. Mais pour l'heure, hormis les quelques "Iteiteitei" classiques que l'on est en droit de pousser quand une catcheuse professionnelle cachée derrière des airs d'ange vous tord le bras, mon esprit s'orientait sur un autre facteur pour le moins inavouable. Il fallait dire que le contact de ses fesses sur mon dos n'était pas ce qu'il y avait de plus désagréable. D'accord, c'était même plutôt intéressant... si on mettait de côté la douleur qu'elle provoquait à me tordre dans tous les sens. Bien entendu, les paroles de l'ignorante demoiselle me firent perdre patience et m'ôtèrent de l'esprit l'unique côté plaisant de cette position. Elle n'avait visiblement rien compris au fonctionnement des appareils électro-ménagers. A n'en pas douter, elle ne ferait jamais une bonne femme d'intérieur... ce qui était évident lorsque l'on voyait son tempérament pour le moins explosif.

Alors que je commençais à proférer un juron pour le moins authentique, c'est à dire qui venait du coeur, mon système de pensées fut interrompu par un choc violent, sur le crâne, me laissant inerte sur le sol. Bien qu'à demi-conscient, je sentais ma jambe droite remuer nerveusement, sans doute un réflexe spinal, dernier vestige de mon caractère violent ainsi dompté par l'ancienne shinigami qui se targua en plus de me mettre un coup de pied aux fesses pour après me marcher dessus. Reprenant rapidement mes esprits et me relevant, toujours aussi énervé, commençant à vociférer contre la brunette au comportement toujours aussi détaché de la réalité et ô combien stressant. Posant finalement ma main droite sur mon visage avec un air dépité, je tentais, sans doute vainement, de lui expliquer le mode de fonctionnement du micro-onde, en n'omettant pas de préciser les règles de sécurité. Plus de papier brillant dans le micro-onde, juste la nourriture telle quelle dans une assiette, avec un dessus de plat pour éviter d'en mettre partout. Par contre, il était difficile de faire une démonstration avec un chou-fleur-onde plutôt qu'un micro-onde. Faisant aisément comprendre qu'il vaudrait mieux pour elle, sa sécurité et son avenir qu'elle ne trouve un moyen d'arranger tout le fatras qu'elle venait de créer, je retournais à l'étage, espérant ainsi éviter de nouvelles catastrophes, le tout après lui avoir mis une paille dans une autre briquette de jus d'orange.

Montant les escaliers, je me dirigeais vers la salle de bain pour me changer et me passer un coup sur le visage, afin d'enlever les quelques grains de semoule encore présent sur moi. Soupirant afin d'essayer de retrouver mon calme le plus rapidement possible, je pestais intérieurement. Trop de choses pour le moins incroyables m'arrivaient sur le coin de la figure en un laps de temps excessivement court, au point que j'en venais à me demander si le commun des mortels serait capable d'endurer tout cela. En l'espace de quelques semaines, je m'étais retrouvé à mener une double vie en logeant une squatteuse dans mon placard, ladite squatteuse possédant visiblement quelques tendances sadiques et une mauvaise foi indiscutable. Néanmoins, s'il était une chose qu'il me fallait admettre, c'était bel et bien qu'elle avait un sérieux excessif concernant son travail de Shinigami. Son dévouement à son devoir était exemplaire, mais légèrement angoissant. A croire qu'à côté de cela, la demoiselle âgé de plus d'un siècle et demi n'avait pas d'autres centres d'intérêts. Quoi que j'en dise et quoi qu'il advienne, j'avais tout de même une dette envers elle, depuis cette nuit fatidique où elle avait sauvé tant ma personne que ma famille en me transférant ses pouvoirs.

Alors que je finissais de me passer un coup d'eau froide sur le visage et d'enfiler de nouveaux vêtements, je me dirigeais vers ma chambre, me demandant quelle excuse j'allais pouvoir trouver pour le micro-onde si jamais le vieux timbré qu'était mon père rentrait plus tôt que prévu. Mais la notion d'avoir raté quelques cours m'ennuyait également. Même si notre professeur n'était pas du genre à se poser trop de question tant que mes résultats demeuraient acceptables, je n'osais imaginer les rumeurs qui allaient circuler lorsque les élèves constateraient que Rukia et moi étions absents au même moments. Dans ce genre de situation, Mizuiro devient excessivement dangereux et j'étais certain qu'il ne se priverait pas pour répandre un flot de potins. Mon image... la belle image de moi que j'avais mis des années à construire... risquait de s'effondrer à cause du lutin nerveux qui vivait chez moi. Soupirant à nouveau, je me rendais dans ma chambre pour commencer à ranger celle-ci.

Dieu seul savait ce qui allait encore me tomber dessus...
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MessageSujet: Re: Machine : Mode d'emploi   Machine : Mode d'emploi EmptyVen 1 Oct - 15:44

    Je n’en revenais pas … Ce paysan au beaux biceps me donnait des leçons pour utiliser correctement cette étrange machine humaine. Ma fierté était un peu froisser je dois dire, mais heureusement pour lui je n’avais pas eu le temps de lui faire bien comprendre ma façon de pensée qu’il m’avait déjà donné une nouvelle briquette, et qu’il était monté précipitamment à l’étage sans dire un mot. Comme le disait ce Keigo, Ichigo était sûrement « furax » (eh oui même mon langage je devais l’adapter). Buvant donc seul ce jus de fruit j’entendis doucement l’eau couler. J’en déduisis alors qu’il se laver dans cette salle à eau des plus bizarres. Suivant alors ses pas, montant les escaliers j’entrais de nouveau dans la chambre de cette carotte. Posant doucement mes fesses sur le matelas, son coté moelleux attira mon attention. A la Soul Society nous n’avions pas ce genre de lit, tout m’intriguer dans ce monde. Commençant alors à faire rebondir mes petites fesses sur le matelas avec grand sérieux, c’est là que ce cher Kon arriva.

    - « Nee-san … Tu essaye le matelas, et Ichigo se « prépare » dans la salle de bain … Ne me dit pas que vous allez passer à l’acte !!! »

    Passer à l’acte ? Qu’est-ce que ce crétin jaune voulait dire par là ? Je ne faisais que tester ce matelas en attendant qu’Ichigo se lave … C’est ainsi qu’une image des plus choquantes pour mon esprit et ma santé mentale me vint à l’esprit. Une fraise totalement NUE allongée sur le lit en question, prenant une pose des plus impudiques avec les parties intimes cachée uniquement d’une mini serviette, et me regardant d’un regard qui en disait long sur ce qui allait arrivé … Il n’en fallut pas plus pour que cet obscène de Kon atterrisse dans l’immédiat encastrer dans la table de nuit. Je sentais mes joues en feu ! Comment un idiot de service pouvait me faire réagir ainsi ? Bien évidemment je pensais à la position d’Ichigo dans mon esprit. Certes il avait une certaine carrure cet idiot, mais l’imaginer ainsi en aurait fais retourner dans sa tombe n’importe quel prude ! J’étais perverti par ce monde ! Je n’allais plus jamais pouvoir regarder Ni-Sama dans les yeux ! De plus c’était lui nom de dieu que j’avais imaginé dans la tenue d’Adam !

    Me calmant, je trouvais qu’Ichigo prenait beaucoup trop de temps. Ainsi j’avais dans l’intention d’entrer dans la salle de bain sans même toquer pour qu’il sorte enfin, pour qu’il ne me fasse plus attendre avec cet ours en peluche perverti. Je vous vois venir … Vous vous imaginez que je voulais vérifier si il était tout aussi « équiper » que dans mon imagination, hein !? Eh bien NON ! Hélas je n’eus le temps de vérifier … je veux dire de le chercher car il était là devant moi avec de nouveaux vêtements.

    - « Qu’est-ce que tu faisais abruti ? T’en as mis du temps ! T’es tellement débile que tu t’es noyé en prenant une douche !?

    J’étais en colère à cause de ce mod soul bon pour la casse. Et comme d’habitude c’était sur cette pauvre fraise que ça retomber.
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MessageSujet: Re: Machine : Mode d'emploi   Machine : Mode d'emploi EmptyMer 13 Oct - 13:35

Alors que je me lavais tranquillement, je ne pouvais rester concentré en entendant le brouhaha monumental que faisaient les deux "invités" juste en se trouvant dans ma chambre. En y pensant bien, c'était un miracle que ma famille n'ait pas encore réalisé qu'une peluche parlante et une Shinigami sans pouvoirs logeaient de manière frauduleuse dans la maison. Trouver des explications pour les pyjamas disparus de Yuzu devenait de plus en plus difficile alors que s'expliquer sur la collection de livres érotiques collectés par Kon était une tâche des plus ardues qui soient. Le caractère crédule de l'espèce d'olibrius me servant de père était cela dit très utile, même si le fait qu'il mette sur mon compte la possession de ces livres en s'exclamant que c'est normal pour mon âge ne me mette on ne peut plus mal à l'aise. Même si la double-vie que je menais, mêlant les études d'un lycéen classique, et mes activités de Shinigami Remplaçant, était extrêmement excitante, j'en venais parfois à souhaiter avoir une vie normale. Mais comme à chaque fois, ce désir s'évanouissait dès l'instant où il était apparu. J'avais une dette envers Rukia et je me devais de la régler, sans me plaindre ou souhaiter que rien de tout cela ne soit arrivé. Penser à tout cela n'était pas non plus une bonne idée, car mine de rien, je ne faisais que m'énerver en frottant de plus en plus fort mes cheveux, à tel point que si j'avais été dans un dessin animé de type Tex Avery, ma tignasse se serait enflammée.

Sortant de la douche dans la vapeur qui se dégageait de celle-ci, je me rendais maintenant compte que j'avais omis de prendre mes vêtements de rechange. Me plaquant la main contre le front en soupirant contre mon propre manque d'esprit, j'enfilais rapidement une longue serviette autour de ma taille, espérant que la squatteuse soit encore en train de dérégler la cuisine au lieu de se trouver de l'autre côté de ma porte de chambre. Ouvrant la porte, je constatais que ma prière avait été à moitié entendue... et malheureusement, c'était la mauvaise moitié qui était visiblement accomplie. Elle ne se trouvait certes pas de l'autre côté de ma chambre, mais elle n'était pas non plus dans la cuisine. A dire vrai, elle était juste derrière la porte de salle de bain à... à quoi d'ailleurs ? Haussant un sourcil perplexe, je l'écoutais s'exprimer avec toujours autant de gentillesse que d'habitude. A dire vrai, ses paroles étaient plutôt ironiques, lorsque l'on sait qu'il a fallu que je lui explique à maintes reprises le fonctionnement de ladite douche. Mais outre ce fait, que faisait-elle devant cette porte ? Rukia était-elle... non, un instant. Je sais qu'elle lit des livres assez... particuliers, mais de là à ce que je la surprenne à mater dans les douches, il y a quand même de la marge. Quoi que... en y pensant, être Shinigami permettait de pouvoir observer les vivants à leur insu. Peut-être ce vice était-il en adéquation avec sa nature de Shinigami ? Notre squatteuse était-elle aussi perverse que ce qu'indiquaient les ouvrages qu'elle lisait ?

Toujours était-il que sa position vis-à-vis de la porte était légèrement trop avancée pour que l'on en vienne à penser qu'elle allait juste frapper à celle-ci. A bien la regarder, son faciès était un poil trop rouge pour être normal. Finalement, peut-être que l'ensemble des maladresses qu'elle avait commises aujourd'hui étaient dues à une forte fièvre. Après tout, c'était bien son genre de masquer le fait qu'elle était malade pour éviter que je ne me fasse du souci. On avait beau dire, mais elle avait tout de même un fichu caractère et, pour tout vous dire, je n'aimais pas trop l'idée d'être constamment protégé ou que des actions soient dissimulées dans le but d'éviter de me faire de la peine. Or, c'était parfaitement le genre de choses dont était capable Rukia. A toujours tout prendre sur elle, il était à craindre qu'elle ne meure d'un ulcère avant ses euh... cent-soixante ans ? L'observant suspicieusement, je pris la parole sur un ton détaché quoi qu'un peu énervé.


- Et toi ? Je peux savoir ce que tu fais devant la porte de la salle de bain pendant que je me douche ? Et pourquoi tu es aussi rouge ? Tu as de la fièvre ?

Ne prenant pas le temps d'attendre sa réponse, je m'avançais plus amplement vers elle pour finalement poser mon front contre le sien, relevant mes cheveux avec ma main droite pour que ces derniers ne fassent pas obstacle. C'était bien souvent de cette manière que l'on vérifiait si les gens ont de la fièvre après tout. Et à en juger la chaleur qui se dégageait du crâne de la petite brune, soit elle avait attrapé la grippe du siècle, soit un autre facteur que j'ignorais entrait en ligne de compte. Toujours était-il qu'elle était plutôt brûlante, assez pour que j'en vienne à m'inquiéter pour elle.
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MessageSujet: Re: Machine : Mode d'emploi   Machine : Mode d'emploi EmptyJeu 21 Oct - 10:36

    Je devais bien avouer que me vie en tant « qu’humaine » était des plus agréables pour moi. Une période qui allait à jamais marquer ma longue vie. Je n’avais jamais vécu en tant que telle, surtout dans une aussi longue période. Chaque jour passé avec cet idiot aux cheveux roux était amusant, contrairement à ma vie au Sereitei qui était des plus moroses et ennuyeuses. Oui, car dans le monde des Shinigami chaque jour était pratiquement le même pour moi il n’y avait aucune surprise, ni aucun moment insolite comme je les vivais sur Terre. Il suffisait de vivre les jours passés au lycée, mes moments avec cette fraise, ou les fêtes animées organisées. Oui il fallait l’admettre, ma vie humaine me plaisait beaucoup, mais plutôt mourir une deuxième fois que de le dire à Ichigo. Malheureusement toute chose avait une fin, je savais pertinemment qu’un jour cela allait ce terminer il fallait bien que je rentre dans mon véritable chez moi, au Sereitei. D’ailleurs cet irréfutable fait m’effrayait un peu pour plusieurs raisons. La première c’était que j’allais enfin laisser tranquille ce débile d’humain, étrangement ça me donnait des petits pincements au cœur. Ne me demandez pas pourquoi. Et la deuxième raison était que j’avais dépassé les limites. Il était obligatoire pour un Shinigami de rentrer au bercail malgré le fait d’être en mission sur Terre pour y donner des nouvelles, un rapport quoi.

    Hélas je n’avais plus mon ticket de rentrer. Rajoutons le fait qu’il était formellement prohibé de donner ses pouvoirs à un vivant, et j’avais enfreins délibérément cette règle. Même si je ne l’avais pas fais exprès de donner la totalité de mes pouvoirs, j’avais fais une faute grave en ayant l’intention de lui en donner une partie. Je me doutais que dans le monde des morts on se doutait de quelque chose, il fallait donc qu’une idée me vienne rapidement pour reprendre mes biens, mes pouvoirs. J’avais juste espoir que cela arrive très vite, je ne voulais en aucun cas que Ichigo soit impliqué dans cette histoire. C’était mon problème, pas le sien. Il valait donc mieux qu’il n’en sache rien, je le connaissais bien. J’étais sûr qu’il allait s’en mêler si j’ouvrais la bouche.

    Bref revenons à cette situation des plus critiques et … déboussolantes pour mon petit cœur fragile. Me retrouvant donc devant la porte de la salle de bain, et ayant dans mon champ de vision une carotte pratiquement épluchée ayant juste une serviette pour cacher les choses à ne pas voir. A noter que son visage était vraiment proche du miens, front contre front et yeux dans les yeux. Je ne savais guère pourquoi mais les battements de mon se faisaient de plus en plus oppressants dans ma poitrine, j’en avais presque mal pour tout vous dire. Je sentais que mes joues avaient une couleur enflammée, ce crétin me rendait toute chose ! Des sensations qui m’étaient obscurs par le passé se bousculaient depuis que je l’avais rencontré. Essayant d’articuler le plus audiblement possible, n’étais presque paralyser.

    - « Non je n’ai pas de fièvre ! ... Et j’allais te sortir de force de cette salle à eau étrange, tu mettais trop de temps ! »

    Ichigo s’inquiétait toujours pour les autres, s’en était flagrant quand on le connaissait bien. Malgré son caractère de brute sans cervelle il était attentionné, s’en était presque touchant !
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